L'Antre de la Terreur

Bienvenue sur notre blog qui a pour thème, l'horreur, nous y parlerons d'horreur sur toutes les formes, films, histoires et légendes, vidéos de caméras cachées, vidéos étranges, nous parlerons également des créatures, des fantômes, de maisons hantées, sans oublier, les Serials Killers. Ce blog est un petit délire entre moi (Fanny) et mon amie Béa, nous sommes donc 2 à bosser dessus, nous espèrons qu'il vous plaira.

posté le 28-02-2011 à 22:28:22

Paradise Lost.

En vacances au Brésil, de jeunes touristes sont victimes d'un accident de bus à proximité d'une forêt isolée renfermant un sinistre secret...

 


 
 
posté le 28-02-2011 à 20:17:58

Wolf Creek.

Trois jeunes randonneurs partent pour trois semaines de trekking dans le désert australien.

 


 
 
posté le 28-02-2011 à 20:00:42

Le bal de l'horreur.

Trois ans après le massacre de sa famille par un dangereux psychopathe, Donna a enfin repris une existence normale et se prépare à vivre la soirée la plus importante de l'année : le bal de promo du lycée.

 


 
 
posté le 28-02-2011 à 19:55:56

Terreur sur la ligne.

Alors qu'elle garde des enfants, une étudiante est terrorisée par un homme qui la harcèle au téléphone en lui demandant si elle a bien vérifié que tout était normal avec les petits dont elle a la charge.

 


 
 
posté le 27-02-2011 à 03:28:02

Borderland.

En vacances au Mexique, Ed, Henry et Phil, trois étudiants venus passer du bon temps avant d'entrer dans la vie active, tombent sur un groupe de dealers adeptes de cultes sataniques.

 


 
 
posté le 24-02-2011 à 23:13:51

Les attractions hantées de Disney.

Vous ne vous êtes jamais demandé en visitant le Manoir Hanté de Disneyland Paris : " Et si il y avait des attractions vraiment hantées ? ". Je ne parle pas des attractions thématisées sur les fantômes et autres esprits telles les Haunted mansion, ou encore la Tour de la Terreur , mais si l'on s'intéressait aux histoires de cast-members outre-atlantique, dans les parcs de Walt Disney World et de Disneyland à Anaheim. Les rumeurs et autres récits à faire froid dans le dos vont bon train dans les couloirs des backstages que ce soit en Floride ou en Californie. Pourquoi seulement les parcs américains ? me demanderez-vous,et bien c'est qu'aucun cas de " fantômes " n'est apparu à Tokyo ou a Paris. Peut-être est-ce typiquement américain. Bien sûr, avant de lire cette article, vous aurez compris que si vous ne croyez pas aux revenants et autres esprits, il est à prendre au second degrés, quand aux autres, et bien régalez-vous ! Ces récits fantomatiques nous permettent de s'intéresser aux accidents mortels dont ces légendes découlent, comme celui qui vit périr un jeune adolescent à Disneyland Anaheim.

 


 
 
posté le 24-02-2011 à 03:09:21

Waz.

Des cadavres sont retrouvés dans les rues sombres de la ville : certains horriblement mutilés, d'autres avec l'équation gravée dans la chair. Au cours de leur enquête, l'inspecteur Argo et sa nouvelle partenaire réalisent que chaque victime a dû faire un terrible choix : tuer leurs proches ou mourir eux- même...

 


 
 
posté le 24-02-2011 à 03:05:12

Motel 2.

Trois jeunes gens s'arrêtent à un motel pour y passer la nuit, ignorant tout des intentions néfastes des employés.

 


 
 
posté le 24-02-2011 à 03:00:11

Motel.

En panne de voiture, David et Amy, un jeune couple au bord du divorce, se retrouvent obligés de passer la nuit dans un motel miteux éloigné de tout. Par hasard, ils découvrent des cassettes vidéo montrant plusieurs meurtres commis dans la chambre qu'ils occupent. Terrifiés par la réalité des scènes, David et Amy comprennent que s'ils ne font rien, ils seront très bientôt les stars du prochain film...Face à l'horreur et aux cinéastes maniaques du motel, David et Amy ne peuvent compter que l'un sur l'autre pour survivre à ce qui risque fort d'être leur dernière nuit...

 


 
 
posté le 23-02-2011 à 22:46:31

Le fantôme d'Henry VIII.

Nous sommes en Angleterre dans le district de Richmond upon Thames au sud-ouest du Grand Londres, dans le superbe château de Hampton Court qui fut jadis la résidence favorite du roi Henri VIII. Depuis de nombreuses années les rumeurs les plus folles courent sur cette demeure historique, elle serait hantée. Le 21 décembre 2003, une vidéo de surveillance montre deux portes coupe-feu s'ouvrir et ce refermer en laissant entrevoir une énigmatique silhouette en tenue d'époque. L'image fait le tour du monde et teinte les journaux télévisées de la planète de paranormal. Selon certains, il s'agirait du fantôme d'Henry VIII en personne. Les gardiens du château déclarent avoir plusieurs fois constatés que la porte surveillée par une caméra s'ouvrait par moment sans explications. Un des gardiens déclare que souvent ils entendent des rires alors qu'il n'y a personne, les portes et les fenêtres claquent toute seule et des odeurs étranges se dégagent. Un des autres gardiens, explique, que pour lui le plus étrange est que sur la vidéo les portes s'ouvrent toute seule et que le fantôme n'apparaît qu'après. Les guides de costumes d'époque du château, n'ont aucun costume semblable à celui que porte le « fantômes ». Le professeur Richard Wiseman, chercheur en psychologie de l'Université de Hertfordshire, a déclaré: "Soit Il s'agit d'un coup de pub pour le château, ce dont je doute, soit d'un visiteur qui a voulus se rendre utile en fermant les portes." (Source: le Daily Telegraph )Apparition fantomatique ou simple canular ? Le château de Hampton Court garde encore à ce jour tous ses secrets.

 


 
 
posté le 23-02-2011 à 22:17:47

Le manoir Ballechin.

Maintenant détruit, le manoir Ballechin était connu comme l'endroit le plus hanté d'Écosse. Hanté autant par des fantômes d'humains que par ceux des anciens chiens d'un des propriétaires, cette maison fût abandonnée pendant près de trente ans. Le manoir de Ballechin fut construit en 1806, sur l'emplacement d'un vieux manoir qui était déjà détenu par la famille Stewart (Stuart) depuis plus de trois siècles. C'est d'ailleurs cette année là, dans cette nouvelle maison, qu'est né Robert Stewart, celui qui allait entrer dans la légende. Il parti pour les Indes en 1825, avec la Compagnie des Indes orientales et en revint 25 ans plus tard, en 1850, avec un grade de Major. À son retour, il retourna à Ballechin, dont il avait hérité 16 ans auparavant. Comme la maison avait été louée à des locataires, il habita quelque temps dans un petit cabanon en attendant que leur bail expire.
La population locale le considérait comme excentrique, car bien que profondément religieux, il avait développé plusieurs croyances pendant les vingt-cinq années qu'il avait vécu en Inde. Il avait aussi un grand amour pour les chiens, il en possédait quatorze. Vers la fin de sa vie, il avait presque complètement raillé la compagnie des hommes, préférant ses animaux. Sa seule amie était sa femme de chambre, Sarah, qui décéda mystérieusement dans la chambre du maître, en 1873, à l'âge de 27 ans. Cette chambre allait d'ailleurs devenir la pièce la plus hantée de la maison. Le Major Stewart croyait fermement en la transmigration des âmes et avait déjà déclaré vouloir revenir, après sa mort, dans la peau de son chien favori, un épagneul noir.  Il mourut dans son manoir, en 1874 (1876 selon certaines sources), et fut enterré aux cotés de Sarah. Nul ne sait vraiment si le major réussit à transmigrer son âme dans le corps de son épagneul, mais si ce fut le cas, il dû avoir une surprise car, lorsque son neveu, qui hérita du manoir de Ballechin, arriva dans sa nouvelle demeure, il fit abattre tous les chiens, en commençant par l'épagneul noir. C'est peu de temps après que le premier phénomène paranormal se produisit. La femme de John Stewart, le neveu du major, était dans le bureau de son mari alors qu'elle sentit une très forte odeur de chien, la même qui régnait autrefois en ces lieux. Soudainement, elle fut heurtée par un animal invisible. Les évènements ne tardèrent pas à se multiplier; des bruits étranges, des coups, des grattements, des détonations, des voix se disputant, alors qu'il n'y avait personne.
 


 
 
posté le 23-02-2011 à 19:22:10

Le sous marin maudit.

Voici 2 histoires du sous marin maudit que l'on nomme, U-65 ou UB-65.

 


 
 
posté le 23-02-2011 à 19:08:18

LE BAG-NOZ - LE BATEAU DES MORTS.

Dans plusieurs croyances du monde, la mort emporterait les âmes des morts (généralement ceux qui ce sont perdus en mer) dans une barque ou un vaisseau, nommé le bateau des morts. En Bretagne, cette ou ces barques noires se nomme Le Bag-Noz (Bag-an-noz ou Bag Veru). Cette vieille légende datent de la nuit des temps, et prend racine dans les croyances disant que l'âme d'un mort ne peut traverser un cour d'eau sans pont ou bateau.La légende du bateau des morts est l'une des premières qui aient été constatées sur notre littoral et existait sans doute bien avant la conquête romaine, et au VIe siècle Procope la rapportait en ces termes :« Les pêcheurs et les autres habitants de la Gaule qui sont en face de l'île de Bretagne sont chargés d'y passer les âmes, et pour cela exempts de tributs. Au milieu de la nuit, ils entendent frapper à leur porte. Ils se lèvent et trouvent sur le rivage des barques étrangères où ils ne voient personne, et qui pourtant semblent si chargées qu'elles paraissent sur le point de sombrer et s'élèvent d'un pouce à peine au-dessus des eaux. Une heure suffit pour ce trajet, quoique, avec leurs propres bateaux, ils puissent difficilement le faire dans l'espace d'une nuit. »Ce navire des morts n'a pas disparu de la tradition contemporaine, et de 1830 à nos jours, on le voit figurer dans plusieurs récits, recueillis sur divers points de la Bretagne. Selon un conteur, les apparitions du Bag Noz se déroulent comme ceci:« Près de Saint-Gildas, les pêcheurs de mauvaise vie, et qui se soucient peu du salut de leur âme, sont réveillés la nuit par trois coups que frappe à leur porte une main invisible. Alors ils se lèvent, poussés par une force surnaturelle. Ils se rendent au rivage, où ils trouvent de longs bateaux noirs qui semblent vides, et qui pourtant s'enfoncent dans la mer jusqu'au niveau de la vague. Dès qu'ils sont entrés, une grande voile blanche se hisse seule au haut du mât et la barque quitte le port, comme emportée par un courant rapide. Ces bateaux chargés d'âmes maudites ne reparaissent plus au rivage, et que le pêcheur est condamné à errer avec elles à travers les océans jusqu'au Jugement. »D'après C. d'Amazeuil, ce bateau doit, jusqu'à la fin des siècles, aller de plage en plage, d'île en île, à la recherche des corps des marins pour les ramener au hameau qui les a vu naître. La croyance au navire des morts se retrouve aussi, sous des formes variées, et pas toujours précises, dans plusieurs autres récits.Les Bolbiguéandets du Morbihan, qui sont des espèces de lutins, forcent des voyageurs à entrer dans une barque noire, où se pressent des fantômes. Quand elle est chargée, elle part avec la rapidité d'une flèche pour une île inconnue. Les âmes s'envolent, la barque repart, le conducteur tombe dans un sommeil profond, et, le lendemain se retrouve endormi à terre.Sur les côtes du Finistère, la Barque des Morts, Lestr an Anaon, vogue la nuit, chargée à couler bas, et ses passagers, à qui les hèle, ne répondent que par des amen.On ne dit pas quelle est sa destination, ni par qui elle est conduite.À Audierne, on est mieux renseigné, au moins quant au capitaine d'un bateau qui s'y montre de temps en temps, il est rempli de lumières et l'on n'aperçoit personne à bord. D'autres fois, on entend seulement des bruits d'aviron, des commandements d'étarquer les voiles, mais on ne voit rien. C'est le Bag-Noz (bateau de nuit) qui fait, sur mer, l'office que le Carrik Ankou, le Chariot des morts, fait sur terre. Il est commandé par le premier mort de l'année.A l'île de Sein, l'homme de barre du Bag-Noz est le dernier noyé de l'année.Une femme, dont le mari avait disparu en mer sans que son corps eût été retrouvé, l'aperçut qui tenait la barre, un jour que le Bag-Noz passait tout près d'une des pointes de l'île.Ce bateau se montre quand quelque sinistre doit se produire aux environs, il apparaît sous une forme assez indécise à la tombée de la nuit et son équipage pousse des cris à fendre l'âme. Dès que l'on veut s'en approcher cependant, la vision disparaît. Un marin parvint cependant à le serrer, une nuit, d'assez près pour voir qu'il n'y avait personne à bord, que l'homme de barre, sitôt qu'il lui eut parlé, le bateau disparut.On croit dans le pays de Tréguier qu'il y a des barques qui portent les âmes des morts, et surtout celles des noyés, à des îles qu'on ne connaît pas, et que personne n'a jamais vues, mais qui n'en existent pas moins et qui se montreront à la fin du monde. Les soirs d'été, quand le vent se tait et que la mer est calme, on entend gémir les rames et l'on voit des ombres blanches voltiger autour des bateaux noirs. Si quelqu'un tente de suivre en mer les barques qui portent les âmes des morts, il est obligé de les accompagner jusqu'à la consommation des siècles.On raconte au port de la Claye que, jadis, on entendait un bruit de rames et de soupirs sur la rivière du Lay. Une barque mystérieuse remontait jusqu'à Morteville, puis redescendait vers la mer avec la marée. Les légendes bretonnes connaissent une sorte de navire-enfer, qui comme le Voltigeur hollandais, navigue sans repos et est monté par un équipage de damnés, composé de tous les « faillis » matelots, des coquins morts sous la garcette pour vol à bord, des lâches qui se sont cachés pendant les combats.À l'île d'Arz, à l'île aux Moines, et dans quelques autres localités du Morbihan, il est assez souvent parlé de vaisseaux de haut-bord montés par des hommes et par des chiens de taille gigantesque. Ces hommes sont, paraît-il, des réprouvés dont la vie a été souillée par des crimes, les chiens sont des démons préposés à leur garde et qui leur font endurer mille tortures.Suivant des croyances constatées dans un assez grand nombre de pays, les âmes, une fois séparées du corps, ne peuvent franchir un cours d'eau, sans l'aide d'une barque ou d'un pont, c'est pour le salaire du batelier que même en France, à des époques récentes, on plaçait une pièce de monnaie dans la main du défunt.Presque chaque année, le jour des Morts, on voit apparaître au bout de la jetée de Dieppe un des navires qui ont péri depuis un an. On le reconnaît, ce sont ses voiles, ses cordages, sa mâture. Le gardien du phare lui jette la drome, l'équipage la saisit et l'attache à l'avant-pont, suivant l'usage.Alors le gardien de crier aux gens du port :« Accourez ! Veuves, voici vos maris;Orphelins, voici vos pères ! »Et les femmes accourent, suivies de leurs enfants;tous s'attellent à la drome et halent le bateau.Bientôt dans le bassin, près du quai, chacun reconnaît ceux qui sont à bord :« Bonjour, mon homme; bonjour, mon père; bonjour, Pierre, Nicolas, Grégoire ! »L'équipage ne répond pas.« Alors, amenez vos voiles ! » les voiles restent tendues.« Venez donc, que nous vous embrassions. »A ces mots on entend sonner la messe, et aussitôt les voiles, le bateau, l'équipage, tout disparaît; les femmes et les enfants des naufragés s'en vont à l'église en pleurant.« Payez vos dettes » murmure autour d'eux la foule des spectateurs.Une barque, montée aussi par des âmes en peine faute de prières, apparut à deux marins dont le bateau, surpris par la marée, s"était échoué dans la rivière de Quimper. Ils s'étaient roulés dans leur voile et allaient s'endormir en attendant le retour du reflux, quand ils furent hélés à plusieurs reprises par une voix forte qui leur demandait, en les appelant par leur nom, d'aller chercher des gens embarrassés.À la fin, ils regardèrent dans la direction de la voix et virent que le fond de la baie venait de s'éclairer subitement d'une lumière qui semblait sortir des eaux. Dans cette lumière se profilait une barque où cinq hommes, pareillement vêtus de cirés blancs parsemés de larmes noires, se tenaient debout, les bras tendus. L'un des marins, pensant que c'étaient des âmes en détresse, leur cria qu'ils étaient échoués, mais étaient prêts à faire ce qu'ils pourraient pour eux. Alors les cinq fantômes s'assirent chacun à leur banc et se mirent à ramer, mais comme ils ramaient tous du même côté, le bateau, au lieu d'avancer, virait sur place. Les deux marins, avec de l'eau à mi-jambe, se dirigèrent vers la barque blanche, mais quand ils furent tout proches, elle sombra soudain et la lumière de la baie disparut. À la place où étaient les quatre rameurs s'allumèrent quatre cierges, et le cinquième, celui qui tenait tout à l'heure le gouvernail, avait encore la tête et les épaules au-dessus de l'eau.L'un des matelots lui ayant demandé s'il était de Dieu ou du diable, l'homme lui répondit :« Nous sommes ici cinq âmes qui attendons le passage d'un homme de bonne volonté. »Comme le marin lui répondait qu'ils étaient disposés à faire ce qui était nécessaire pour les délivrer, il ajouta que pour cela, il fallait faire dire cinq messes mortuaires pendant cinq jours, au maître-autel de Plomelin, auxquelles devaient assister trente-trois personnes. Lorsqu'elles eurent été dites, les marins retournèrent à la baie où la lumière se montra de nouveau au-dessus des flots, et les cinq fantômes apparurent dans la barque, encore vêtus de leurs cirés blancs, mais les larmes en avaient disparu, ils avaient l'air heureux et une musique délicieuse se fit entendre pendant qu'ils remerciaient par trois fois les marins.

 


 
 
posté le 23-02-2011 à 19:01:41

Le Great Eastern.

Le Great Eastern est sans aucun doute l’un des plus grands navires qui aient jamais vogué sur les sept océans. Ce fut aussi l’un des plus marqués par la fatalité. La malédiction s’était abattue sur lui avant même sa mise à flots sous la forme du fantôme de l’un des ouvriers qui l’avaient construit et qui était mort emmuré dans sa cale.Le créateur du navire, Isambard Kingdom Brunel, avait déjà fait ses preuves en construisant des ponts et des chemins de fer lorsqu’il avait eu l’idée de construire une cité flottante qui relierait Londres au reste du monde. A cette époque, les architectes navals avaient déjà conçu et fabriqué des vaisseaux de ligne d’un tirant de 3 000 tonnes. Mais le Great Eastern de Brunel les laissait loin derrière. Avec son tirant d’eau estimé à 100 000 tonnes, il pouvait faire rougir de honte tout ce qui flottait. Dix énormes chaudières alimentées par 115 fournaises activaient deux roues à aubes de 10 mètres et un propulseur d’appoint de 7 mètres. La fumée s’échappait par cinq cheminées. Le Great Eastern avait un matériel auxiliaire qui aurait pu équiper une petite armada – dont deux ancres de cinq tonnes chacune, six mâts immenses et son propre générateur de gaz.Il n’empêche : il était hanté. Lors du repas donné pour son lancement, Brunel avait invité tous les ouvriers qui avaient participé à sa construction et un seul manquait à la fête, un charpentier qui avait travaillé à la cloison double de la cale.Le baptême et le lancement du navire ne se déroulèrent pas comme prévu : le volume et le poids du navire firent se bloquer le mécanisme de lancement. Il n’aurait probablement jamais pu être lancé si une marée d’équinoxe ne l’avait fait flotter jusqu’à la Tamise. Pourtant, ce petit succès fut aussitôt suivi par la faillite de la compagnie de navigation de Brunel et par la mort de Brunel lui-même. Le jour de sa mort, le capitaine s’était plaint à son chef mécanicien d’avoir été dérangé dans son sommeil par des « coups venant d’en bas ».Dans la foulée de cet incident lugubre, l’une des cheminées du Great Eastern explosa, tuant six personnes et détruisant le grand salon. Puis tout parut se calmer mais, lors de la quatrième traversée de l’Atlantique du paquebot de luxe, un vent de travers faussa une des roues à aubes et projeta les canots de sauvetage par-dessus bord. On n’avait jamais cessé d’entendre, même par grand vent, les coups frappés par un fantôme au fond de la cale.Le Great Eastern put rejoindre son port d’attache mais sa carrière était terminée. Ses derniers propriétaires eurent même du mal à se débarrasser de sa ferraille. En 1885, alors qu’on finissait de le démonter, les soudeurs firent une étrange trouvaille : derrière un tapis enveloppant des outils rouillés, ils découvrirent le squelette du charpentier disparu, coincé entre les deux cloisons métalliques de la coque du Great Eastern.
 


 
 
posté le 23-02-2011 à 00:07:51

Les vaisseaux fantômes et bâteaux hantés.

De nombreuses histoires, retenues aux fils des âges, reportent des apparitions mystérieuses de navires, suivies de leurs disparitions tout aussi mystérieuses. Les récits de marins ne manquent pas à ce sujet. Quelques fois, les bateaux pourraient aussi être hantés, le texte qui suit en rapporte d'ailleurs plusieurs cas étranges. D'incroyables histoires qui méritent d'être découvertes !Tout le monde connaît les histoires de vaisseaux fantômes qui errent sur les mers du globe. Le plus célèbre reste sans nul doute le Hollandais Volant (appelé aussi le Voltigeur hollandais), à tel point que Wagner en fit même un opéra, Le Vaisseau Fantôme. Le Hollandais Volant est devenu l’archétype du vaisseau fantôme. Ce navire fantôme aurait été vu par de nombreux marins et, parmi ces témoins, le duc d’York, futur roi Georges V d’Angleterre. Le jeune duc, alors âgé de seize ans, était enseigne à bord de la Bacchante, lorsque, dans la nuit du 11 juillet 1881, alors que le navire se trouvait au large de l’Australie, quelque chose apparut dans l’obscurité. Une lumière venue de nulle part et qui s’approchait. Lorsqu’elle fut à environ 300 mètres, une forme se distingua nettement, celle d’un brick entouré d’un halo vaporeux.Le journal de bord de la Bacchante mentionne cette rencontre, qui eut une douzaine de témoins. « A quatre heures du matin, un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L’homme de bossoir le signala sur l’avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève officier fut envoyé dans la vigie. Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucun signe d’un navire réel. Treize personnes ont été témoins de l’apparition. Selon eux, la nuit était claire et la mer calme. Le Tourmaline et le Cléopatre qui naviguaient par tribord avant leur demandèrent par signaux si ils avaient vu l’étrange lumière rouge. Toutes les traditions côtières connaissent des légendes relatives à des vaisseaux fantômes, ou à des navires de morts. On en trouve trace dans la mythologie germano-scandinave, avec le vaisseau Naglafar, construit avec les ongles des morts, et barré par le géant Hrym. Le thème s’est cependant surtout exprimé chez les Celtes. Au VIe siècle, l’historien Procope écrivait (La Guerre des Goths, 1, IV, c. 20) :« Les pêcheurs et les autres habitants de la Gaule qui sont en face de l’île de Bretagne sont chargés d’y passer les âmes, et pour cela exempts de tributs. Au milieu de la nuit, ils entendent frapper à leur porte ; ils se lèvent et trouvent sur le rivage des barques étrangères où ils ne voient personne, et qui pourtant semblent si chargées qu’elles paraissent sur le point de sombrer et s’élèvent d’un pouce à peine au-dessus des eaux ; une heure suffit pour ce trajet, quoique, avec leurs propres bateaux, ils puissent difficilement le faire dans l’espace d’une nuit. »Cette croyance, qui est très certainement antérieure à la guerre des Gaules, a survécu au moins jusqu’au début du XXe siècle. On croyait ainsi, dans le pays de Tréguier, qu’il existe une barque qui transporte les âmes des défunts, et surtout celles des noyés, vers des îles inconnues.« Les soirs d’été, quand le vent se tait et que la mer est calme, on entend gémir les rames et l’on voit des ombres blanches voltiger autour des bateaux noirs. Si quelqu’un tente de suivre en mer les barques qui portent les âmes des morts, il est obligé de les accompagner jusqu’à la consommation des siècles. » (Paul Sébillot, Le Folklore de France).Sur les côtes du Finistère, Lestr an Anaon, la Barque des Morts, vogue, de nuit chargée d’âmes. A Audierne, c’est le Bag-Noz, Bateau de Nuit, qui transporte les âmes. Il est commandé par le premier mort de l’année (par contre, à l’île de Sein, c’est le dernier noyé de l’année).Une croyance bretonne tenace voulait que certains navires ayant sombré revenaient avec leurs équipages de trépassés, mais qu’ils étaient plus grands à chaque apparition. Félix Franck, dans son livre La Danse des Fous (Paris, 1885) rapportait les propos d’un vieux marin qui avait fait partie de l’équipage d’un brick coulé sur la chaussée de l’île de Sein, et qui était le seul survivant.« Il disait que, depuis, il avait plusieurs fois rencontré son brick dans ses voyages lointains, mais qu’à chaque fois, il l’avait trouvé plus grand. Quand je le reverrai, ajoutait-il, ce sera un vaisseau à trois ponts, et au lieu de mourir dans mon lit, je naviguerai pendant l’éternité. »Le 11 juillet 1861, l’Inconstant, navire de la Royal Navy, voguait dans le Pacifique lorsque, à quatre heures du matin, un étrange vaisseau coupa sa route. Enveloppé d’une lueur phosphorescente, il s’agissait d’un voilier à deux mâts. L’officier de quart, présent, fut le premier à l’apercevoir lorsqu’il passait à environ deux cents mètres à bâbord. Un jeune aspirant le vit aussi, alors qu’il était sur la plage arrière. Il courut vers le gaillard pour mieux le voir, mais le brick fantôme et sa lumière spectrale disparurent subitement, laissant la mer aussi calme qu’auparavant.En 1887, un navire, parti de San Francisco et se rendant en Chine, croisa la route d’un vaisseau fantôme. Les hommes d’équipage virent soudainement un ancien trois-mâts, enveloppé d’une étrange lumière blanche. Il se rapprocha, puis disparut subitement. Les marins notèrent que, malgré un vent très fort, le navire avait toutes ses voiles dehors.En juillet 1934, à bord du yacht Mary Ann, le capitaine Hampson voguait en pleine mer, lorsqu’il pénétra dans une épaisse nappe de brume. Soudain, un navire surgit par tribord avant : c’était un vieux voilier. Hampson mit aussitôt la voile à gauche, mais trop tard. La Mary Ann éperonna le voilier. Pourtant, il n’y eut aucun fracas de bois brisé, le yacht effectua seulement une très large abattée, l’autre navire restant accroché à lui. Le capitaine examina le navire et son sang se glaça. Nul être humain n’était visible sur le pont. Les voiles déchirées et délavées se gonflaient de brise, mais dans le silence le plus total : pas un bruit de sillage, pas un battement de poulie, aucun craquement de cordage… rien qu’un silence terrifiant. Le navire disparut avant que Hampson eût pu lire son nom. Il était si troublé par son insolite rencontre qu’il ne songea pas à reprendre son ancienne route. Peu de temps après, la brume disparut et le soleil reparut. Hampson distingua alors, à l’horizon, un remorqueur qui tirait un train de bois.« Alors, rapporta-t-il, j’éprouvai un nouveau choc. Une partie de ce train de bois s’était détaché et se trouvait à fleur d’eau, juste en travers de la route que j’aurais tracée et que j’aurais suivie si je n’en avais été écarté par l’intervention opportune du navire fantôme. »Le 5 janvier 1937, vers 17 heures, le Khosron voguait prudemment sous une pluie battante, actionnant sa sirène toutes les deux minutes. Soudain, le son d’une autre sirène se fit entendre. Le capitaine fit aussitôt stopper les machines. Brusquement, la forme imprécise d’un navire surgit à bâbord et passa à moins de deux cents mètres. L’équipage put distinctement lire son nom : Tricoleur. Quelques minutes plus tard, la pluie cessa et la vue porta à sept milles. Etant donné leurs vitesses relatives, les deux navires ne pouvaient être éloignés de plus de trois milles. Pourtant, le Tricoleur avait disparu. Robinson, qui venait de faire le point, emmena alors le capitaine dans la chambre des cartes. A l’endroit où les navires s’étaient croisés, la carte indiquait : « M.S. Tricoleur, a explosé et coulé en ce point le 5 janvier 1931, à 17 heures. »En 1939, une centaine de personnes, sur une plage d’Afrique du Sud, au sud-ouest du Cap, observe un navire, toutes voiles dehors, qui traverse la mer rapidement, alors qu’il n’y a pas un souffle de vent. L’étrange vaisseau disparaît subitement.En 1942, le destroyer Kennison, de l’U.S. Navy, patrouillait à l’entrée de la baie de San Francisco, à la recherche d’éventuels sous-marins japonais. A cause du brouillard, la visibilité réduite obligeait à naviguer au radar. Tout était calme, lorsque, soudain, deux des marins de quart virent surgir de la brume une forme indétectable au radar : un vieux deux-mâts d’autrefois. Le navire, toutes voiles dehors, passa juste devant le destroyer. Les deux hommes sautèrent sur l’interphone, mais le voilier fantôme avait déjà disparu.Au printemps suivant, le Kennison eut l’occasion de croiser la route d’un autre vaisseau fantôme. Il patrouillait toujours devant les côtes californiennes, mais au large de San Diego, cette fois. La nuit était calme et étoilée. Sur la passerelle volante, deux marins de guet aperçurent soudain dans leurs jumelles un cargo qui se dirigeait vers eux. Ils donnèrent l’alerte, mais l’officier radar ne détectait rien d’anormal sur son écran. Pourtant, le navire était maintenant visible à l’oeil nu. Il se trouvait à environ 10 km et venait droit sur le destroyer. Puis, tout à coup, il disparut sans laisser de trace.Autre cas, en 1942, à Mouille Point, aux abords du Cap, où un navire fantôme apparut, s’approchant de la baie de la Table, avant de disparaître subitement.Si l’on en croit la tradition du village de Merigomish, en Nouvelle-Ecosse (USA), tous les ans, à l’équinoxe d’automne, se produirait toujours la même scène. Un trois-mâts carré arrive du nord-est et se rapproche de la côte. Les lumières des lanternes, sur le pont et dans les gréements, sont parfaitement visibles. Puis, tout à coup, le navire fait une embardée, comme s’il avait heurté un récif ou un banc. L’instant d’après, des flammes jaillissent tandis que des formes sautent à la mer. L’incendie gagne rapidement tout le pont, puis part à l’assaut des agrès et des mâts, dévore bientôt les voiles. Les mâts s’abattent, et, enfin, le vaisseau fantôme disparaît dans les flots.En 1944, un sous-marin américain croisant au sud de Formose observa un convoi qu’il supposa être japonais. Aucun convoi n’avait pourtant été signalé dans les parages. Le sous-marin le prit en chasse, mais, subitement, les navires disparurent. Des vérifications montrèrent que le convoi le plus proche se trouvait alors à cent milles.En 1959, deux navires de la marine britannique allèrent au secours d’une embarcation en détresse. Ils eurent la surprise, en s’approchant, de découvrir qu’il s’agissait d’une barge de déparquement de la Seconde Guerre mondiale, arborant le pavillon à croix de Lorraine de la France Libre. Le bateau disparut subitement.Plus près de nous, en janvier et février 1960, au large de l’Argentine, dans le golfe Nuevo, des sous-marins furent repérés, au sonar, par des destroyers de la marine nationale. Aussitôt, les navires de guerre fermèrent le golfe, et, n’ayant obtenu aucune réponse aux sommations d’usage, décidèrent de couler les sous-marins… en vain. Quelques heures plus tard, les échos sonar disparurent subitement. La situation se reproduit plusieurs fois au cours des semaines suivantes. Un cas similaire de sous-marins fantômes a été répertorié au Danemark.
 


 
 
posté le 22-02-2011 à 23:00:27

L'énigme de la "Mary-Céleste".

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 22:18:28

Le Hollandais volant.

Le Hollandais volant, aussi connu sous le nom de "voltigeur hollandais" ou "the Flying Dutchman" est sans nul doute était le plus connu de tous les vaisseaux fantômes. Le mystère entourant sa disparition et la mort de son équipage n'a d'égal que celui entourant ses très nombreuses apparitions. Le hollandais volant est donc le personnage central d'une quantité imprésionnante de légendes maritimes. Issu d'une rumeur qui circulait dans les Caraïbes aux premières aire de la piratrie, le Hollandais volant était supposé être le revenant d'un capitaine de fortune, qui avec un équipage d'ectoplasmes à bord de son vaisseau fantôme, attaquait par traitise tous les navires et cela sur toutes les mers du globe pour l'éternité.

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 21:53:05

Le Queen Mary et ces fantômes.

Voici 2 histoires de Queen Mary et de ces fantômes.

Un étrange paquebot , considéré comme le plus grand du monde a sa construction en 1934, a fait parlé de lui de par d'étranges phénomenes de revenants ou esprits constatées a maintes reprises...Il est à ce jour reconverti en hotel...Ainsi de nombreux hôtes auraient ainsi été confrontés a diverses expériences...En effet, Des gens sont morts sur le vaisseau, par accident, de maladie. Queen Mary a même coupé en deux un croiseur britannique moins rapide que lui, et entrainé la mort de 336 soldats... Certains visiteurs récents prétendent avoir entendu le choc, les craquements, et les gémissements des esprits sans repos. Des hôtes de l'hôtel ont entendu des pas, depuis leur cabine, certains en se penchant sur le pont ont senti des mains les tirer en arriere, en signe de sécurité. D'autres, soudain éveillés au milieu de la nuit, ont vu, au pied de leur lit, une personne les regarder dormir et s'évanouir après quelques secondes. Des visiteurs ont observé, plusieurs fois au cours de la même journée, le même personnage apparaître et disparaître en divers endroits du bateau. Chaque fois, l'ectoplasme portait des vêtements du passé, blazers de Gatsby le Magnifique ou robes longues de Greta Garbo. Une femme au moins a raconté qu'elle s'était soudain sentie emportée dans une autre époque pendant quelques instants, comme si un esprit avait pris possession d'elle. Les ombres fugaces des fantômes hantent pièces et couloirs du vaisseau, au point qu'un tour spécial est organisé, sous l'égide d'un spécialiste du paranormal.

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 03:55:44

La Story Inn.

Le Story Inn, à Story (Indiana) demandez la "Blue Lady Room et vous comprendrez!

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 03:49:19

Bala Bay Inn.

Cette petite auberge de la région de Muskoka en Ontario serait hantée par son fondateur, E.B. Sutton décédé en 1916.

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 03:44:37

Heritage Inn.

Depuis qu'un homme est décédé dans cet hôtel de Taber en Alberta, la suite 203 n'a plus jamais été la même.

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 03:39:56

Le Fairmont Hotel Vancouver.

Durant les années 30 et 40, Jennie Pearl Cox était une habituée de la salle de bal du Fairmont de Vancouver.

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 03:35:18

Le Fairmont Royal York.

Après avoir échoué à un exercice de feu, la grande salle de bal de cet hôtel de Toronto, située au dernier étage, a été fermée de façon permanente. Pourtant, depuis, des clients logés directement sous la salle se plaignent d'entendre de la musique et des conversations fortes durant la nuit.Un ascenseur de service se dirigerait aussi directement vers l'étage condamné même si vous n'avez pas appuyé sur le bouton.

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 03:26:50

Le Fairmont Banff Springs.

Cette figure bien connue de l'hébergement canadien peut se vanter d'avoir plus d'un esprit résident.

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 00:32:23

La maison qui saigne (1).

Voici le témoignage sur la maison qui saigne:

Il y a quelques mois, après une randonnée en forêt de Fontainebleau, nous faisons halte dans un joli village où nous tombons en arrêt devant un magnifique bâtiment ancien portant un écriteau : "A Vendre".

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 00:25:01

La maison qui saigne (2).

Autre version de l'histoire de la maison qui saigne.
 


 
 
posté le 20-02-2011 à 23:19:58

La maison hantée de Hem.

Un couple avec son enfant a habité cette demeure il y a de cela quelquesannées. 

 


 
 
posté le 20-02-2011 à 22:58:31

La petite fille au couteau.

C'est un couple qui rentre un soir tard de chez des invités.

 


 
 
posté le 20-02-2011 à 22:49:28

La machine à laver.

Une jeune fille avait pour habitude de garder les enfants de ses voisins. Comme à chaque fois, elle arrivait vers neuf heures, jouait un peu avec eux, puis allait les coucher.

 


 
 
posté le 20-02-2011 à 20:32:36

Les fantômes de la cathédrale de Canterbury.

Elle est l'une des plus longues et anciennes cathédrales de l'Angleterre, certains de ses murs datent encore du 12e siècle...

 


 
 
posté le 20-02-2011 à 19:58:52

Les tours de Londres.

La tour de Londres, fut construite au XIe siècle par Guillaume le conquérant, prés de vestiges de murailles romaines.

 


 
 
posté le 20-02-2011 à 00:01:19

Caméra cachée dans un laboratoire.

Tout est dans le titre, regardez le pauvre homme.

Il va avoir une trouilleeeeeee, pas possible.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 22:01:03

Amityville.

La nuit du 13 novembre 1974, le commissariat du Comté de Suffolk reçut un appel affolé,en provenance de la communauté d'Amityville.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 21:54:22

Amityville.

L’affaire d'Amityville est un ensemble d'événements survenus entre 1974 et 1976 et ayant pour théâtre une demeure située au 112 Ocean Avenue, dans la petite ville côtière d'Amityville, sur Long Island, à l'est de New York, États-Unis. Dans la nuit du jeudi 14 novembre 1974, Ronald Junior, fils aîné de la famille DeFeo, y assassina au fusil ses parents et ses frères et sœurs pendant leur sommeil.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 20:48:19

La petite fille qui hante le château de Steene n’a pas perdu sa voix.

Voici un article parut il y a quelques années dans la voix du Nord.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 19:23:12

Caméra cachée, la femme fantôme.

Petite caméra cachée d’une fausse dame blanche qui effraie les passants dans un couloir.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 19:11:58

Caméra cachée, le bébé de Satan.

Tout est dans le titre, encore une fois, c'est nul de faire peur aux gens comme ça, mais celà nous faire rire, avouez ?

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 19:04:30

Caméra cachée dans un cimetière.

Voici une petite caméra cachée toute marrante, écoutez les cris des mecs, lol, moi je me marre mais bon, si on me fait un truc dans ce genre je suis bonne pour la morgue.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 18:56:43

La mauvaise caméra cachée.

Alors, çaaaa, c'est horrible, très mauvaise idée de caméra cachée, imaginez si la pauvre était cardiaque, ne riez pas, c'est pas biennnn.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 02:56:02

Caméra cachée avec baby sitter.

Gary est engagé comme babysitter.

La mère lui explique brièvement qu'une de ses deux filles, Gretchen, est morte récement d'une electrocution.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 02:21:35

Caméra Cachée au Vénezuela qui tourne mal !!!!

Voici la vidéo d'une caméra cachée qui tourne très mal.

 


 
 
posté le 19-02-2011 à 01:27:41

Le tueur du Zodiaque.

Le Zodiaque, ou Zodiac, appelé aussi le tueur du Zodiaque est un tueur en série non identifié à qui sont attribués de façon certaine 5 meurtres, 2 tentatives de meurtre et un enlèvement commis dans le nord de la Californie en 1968 et 1969. Mais au-delà de ces faits, il a été soupçonné d'une série de meurtres (entre 37 et 200 selon les auteurs) commis entre 1966 et 1978.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 23:28:47

Ils.

Lucas et Clémentine, un couple trentenaire expatrié en Roumanie, habite depuis peu une maison isolée en banlieue de Bucarest.Elle, professeur de Français, lui, romancier, vivent un bonheur paisible...Pourtant, un soir, dans leur maison, tout va basculer...La pluie battante fait rage à l'extérieur...Le téléphone retentit, des voix lointaines au bout du fil... incompréhensibles.Le couple n'est pas seul... Le cauchemar commence...ILS sont là...

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 23:22:11

Accident de voiture.

Après s'être disputée avec ses parents concernant une fête a laquelle elle ne pouvait pas assister, une jeune fille décida malgré tout d'y aller.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 22:39:33

Bloody Mary.

La légende de Bloody Mary (la Vierge sanglante) veut que lorsqu'on est dans une pièce sombre, devant un miroir éclairé à la chandelle et que l'on prononce "Bloody Mary" treize fois de suite, un visage de femme ensanglantée fait son apparition dans le miroir pour parfois s'attaquer à ceux qui l'ont appelé.Plusieurs façons différentes d'invoquer cette mystérieuse femme semblent d'ailleurs exister.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 22:27:27

Le chien fidèle.

Une jeune femme doit passer la nuit seule dans sa maison, elle a pour seule compagnie, son chien fidèle.Peu de temps avant de se coucher, elle entend un bulletin à la radio, qui annonce qu'un fou dangereux c'est évadé de l'asile tout proche.Pendant son sommeil, il lui semble entendre des bruits étranges provenant de la salle de bain.Elle sors une main du lit, afin de vérifier si son chien est bien à côté d'elle. Son chien lui répond par une lèche affectueuse sur la main.Le lendemain matin, la jeune femme va dans la salle, et y trouve son chien, égorgé.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 20:19:36

Histoire de Poltergeist.

Nous sommes en 1977 dans la petite ville d'Enfield en Angleterre.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 03:28:06

John Wayne Gacy, dit "Le Clown tueur".

John Wayne Gacy Jr., né le 17mars1942Chicago (Illinois, États-Unis) et décédé le 10mai1994Joliet (Illinois, É.-U.), est l’un des tueurs en série américains les plus connus, surnommé le « clown tueur » du fait qu'il avait l'habitude de se déguiser en clown pour amuser les enfants dans les hôpitaux.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 02:25:54

L'Exorcisme d'Emily Rose.

Lorsque Emily Rose quitte sa province, c'est pour aller étudier à l'université. Une nuit, seule dans sa chambre d'étudiante, elle est la proie d'hallucinations et d'une rencontre surnaturelle qui la laissera épouvantée.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 01:11:02

Creep.

Londres, par une froide et triste nuit d'hiver...A minuit, au sortir d'une soirée chic copieusement arrosée, Kate guette vainement un taxi avant de se résoudre à prendre le dernier métro.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 00:37:01

La Dame Blanche.

Les évènements qui vont suivre se sont déroulés durant le mois de décembre 1977, sur la nationale 90 près de la commune de CHAPEREILLAN (Isère). Par la suite, les médias locaux s'emparèrent de cette histoire.

 


 
 
posté le 18-02-2011 à 00:21:11

L'homme de la station service.

Une jeune femme fait le plein de sa voiture dans une station service.

 


 
 
posté le 17-02-2011 à 23:58:23

Le Fou au crochet.

Voici l'histoire du Fou au crochet, il en existe plusieurs variante, en voici une.