L'Antre de la Terreur

Bienvenue sur notre blog qui a pour thème, l'horreur, nous y parlerons d'horreur sur toutes les formes, films, histoires et légendes, vidéos de caméras cachées, vidéos étranges, nous parlerons également des créatures, des fantômes, de maisons hantées, sans oublier, les Serials Killers. Ce blog est un petit délire entre moi (Fanny) et mon amie Béa, nous sommes donc 2 à bosser dessus, nous espèrons qu'il vous plaira.

posté le 23-02-2011 à 19:01:41

Le Great Eastern.

Le Great Eastern est sans aucun doute l’un des plus grands navires qui aient jamais vogué sur les sept océans. Ce fut aussi l’un des plus marqués par la fatalité. La malédiction s’était abattue sur lui avant même sa mise à flots sous la forme du fantôme de l’un des ouvriers qui l’avaient construit et qui était mort emmuré dans sa cale.

Le créateur du navire, Isambard Kingdom Brunel, avait déjà fait ses preuves en construisant des ponts et des chemins de fer lorsqu’il avait eu l’idée de construire une cité flottante qui relierait Londres au reste du monde. A cette époque, les architectes navals avaient déjà conçu et fabriqué des vaisseaux de ligne d’un tirant de 3 000 tonnes. Mais le Great Eastern de Brunel les laissait loin derrière. Avec son tirant d’eau estimé à 100 000 tonnes, il pouvait faire rougir de honte tout ce qui flottait. Dix énormes chaudières alimentées par 115 fournaises activaient deux roues à aubes de 10 mètres et un propulseur d’appoint de 7 mètres. La fumée s’échappait par cinq cheminées. Le Great Eastern avait un matériel auxiliaire qui aurait pu équiper une petite armada – dont deux ancres de cinq tonnes chacune, six mâts immenses et son propre générateur de gaz.

Il n’empêche : il était hanté. Lors du repas donné pour son lancement, Brunel avait invité tous les ouvriers qui avaient participé à sa construction et un seul manquait à la fête, un charpentier qui avait travaillé à la cloison double de la cale.

Le baptême et le lancement du navire ne se déroulèrent pas comme prévu : le volume et le poids du navire firent se bloquer le mécanisme de lancement. Il n’aurait probablement jamais pu être lancé si une marée d’équinoxe ne l’avait fait flotter jusqu’à la Tamise. Pourtant, ce petit succès fut aussitôt suivi par la faillite de la compagnie de navigation de Brunel et par la mort de Brunel lui-même. Le jour de sa mort, le capitaine s’était plaint à son chef mécanicien d’avoir été dérangé dans son sommeil par des « coups venant d’en bas ».

Dans la foulée de cet incident lugubre, l’une des cheminées du Great Eastern explosa, tuant six personnes et détruisant le grand salon. Puis tout parut se calmer mais, lors de la quatrième traversée de l’Atlantique du paquebot de luxe, un vent de travers faussa une des roues à aubes et projeta les canots de sauvetage par-dessus bord. On n’avait jamais cessé d’entendre, même par grand vent, les coups frappés par un fantôme au fond de la cale.

Le Great Eastern put rejoindre son port d’attache mais sa carrière était terminée. Ses derniers propriétaires eurent même du mal à se débarrasser de sa ferraille. En 1885, alors qu’on finissait de le démonter, les soudeurs firent une étrange trouvaille : derrière un tapis enveloppant des outils rouillés, ils découvrirent le squelette du charpentier disparu, coincé entre les deux cloisons métalliques de la coque du Great Eastern.

 

 

 


 
 
posté le 23-02-2011 à 00:07:51

Les vaisseaux fantômes et bâteaux hantés.

De nombreuses histoires, retenues aux fils des âges, reportent des apparitions mystérieuses de navires, suivies de leurs disparitions tout aussi mystérieuses. Les récits de marins ne manquent pas à ce sujet. Quelques fois, les bateaux pourraient aussi être hantés, le texte qui suit en rapporte d'ailleurs plusieurs cas étranges. D'incroyables histoires qui méritent d'être découvertes !

Tout le monde connaît les histoires de vaisseaux fantômes qui errent sur les mers du globe. Le plus célèbre reste sans nul doute le Hollandais Volant (appelé aussi le Voltigeur hollandais), à tel point que Wagner en fit même un opéra, Le Vaisseau Fantôme. Le Hollandais Volant est devenu l’archétype du vaisseau fantôme. Ce navire fantôme aurait été vu par de nombreux marins et, parmi ces témoins, le duc d’York, futur roi Georges V d’Angleterre. Le jeune duc, alors âgé de seize ans, était enseigne à bord de la Bacchante, lorsque, dans la nuit du 11 juillet 1881, alors que le navire se trouvait au large de l’Australie, quelque chose apparut dans l’obscurité. Une lumière venue de nulle part et qui s’approchait. Lorsqu’elle fut à environ 300 mètres, une forme se distingua nettement, celle d’un brick entouré d’un halo vaporeux.

Le journal de bord de la Bacchante mentionne cette rencontre, qui eut une douzaine de témoins. « A quatre heures du matin, un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L’homme de bossoir le signala sur l’avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève officier fut envoyé dans la vigie. Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucun signe d’un navire réel. Treize personnes ont été témoins de l’apparition. Selon eux, la nuit était claire et la mer calme. Le Tourmaline et le Cléopatre qui naviguaient par tribord avant leur demandèrent par signaux si ils avaient vu l’étrange lumière rouge.

Toutes les traditions côtières connaissent des légendes relatives à des vaisseaux fantômes, ou à des navires de morts. On en trouve trace dans la mythologie germano-scandinave, avec le vaisseau Naglafar, construit avec les ongles des morts, et barré par le géant Hrym. Le thème s’est cependant surtout exprimé chez les Celtes. Au VIe siècle, l’historien Procope écrivait (La Guerre des Goths, 1, IV, c. 20) :

« Les pêcheurs et les autres habitants de la Gaule qui sont en face de l’île de Bretagne sont chargés d’y passer les âmes, et pour cela exempts de tributs. Au milieu de la nuit, ils entendent frapper à leur porte ; ils se lèvent et trouvent sur le rivage des barques étrangères où ils ne voient personne, et qui pourtant semblent si chargées qu’elles paraissent sur le point de sombrer et s’élèvent d’un pouce à peine au-dessus des eaux ; une heure suffit pour ce trajet, quoique, avec leurs propres bateaux, ils puissent difficilement le faire dans l’espace d’une nuit. »

Cette croyance, qui est très certainement antérieure à la guerre des Gaules, a survécu au moins jusqu’au début du XXe siècle. On croyait ainsi, dans le pays de Tréguier, qu’il existe une barque qui transporte les âmes des défunts, et surtout celles des noyés, vers des îles inconnues.

« Les soirs d’été, quand le vent se tait et que la mer est calme, on entend gémir les rames et l’on voit des ombres blanches voltiger autour des bateaux noirs. Si quelqu’un tente de suivre en mer les barques qui portent les âmes des morts, il est obligé de les accompagner jusqu’à la consommation des siècles. » (Paul Sébillot, Le Folklore de France).

Sur les côtes du Finistère, Lestr an Anaon, la Barque des Morts, vogue, de nuit chargée d’âmes. A Audierne, c’est le Bag-Noz, Bateau de Nuit, qui transporte les âmes. Il est commandé par le premier mort de l’année (par contre, à l’île de Sein, c’est le dernier noyé de l’année).

Une croyance bretonne tenace voulait que certains navires ayant sombré revenaient avec leurs équipages de trépassés, mais qu’ils étaient plus grands à chaque apparition. Félix Franck, dans son livre La Danse des Fous (Paris, 1885) rapportait les propos d’un vieux marin qui avait fait partie de l’équipage d’un brick coulé sur la chaussée de l’île de Sein, et qui était le seul survivant.

« Il disait que, depuis, il avait plusieurs fois rencontré son brick dans ses voyages lointains, mais qu’à chaque fois, il l’avait trouvé plus grand. Quand je le reverrai, ajoutait-il, ce sera un vaisseau à trois ponts, et au lieu de mourir dans mon lit, je naviguerai pendant l’éternité. »

Le 11 juillet 1861, l’Inconstant, navire de la Royal Navy, voguait dans le Pacifique lorsque, à quatre heures du matin, un étrange vaisseau coupa sa route. Enveloppé d’une lueur phosphorescente, il s’agissait d’un voilier à deux mâts. L’officier de quart, présent, fut le premier à l’apercevoir lorsqu’il passait à environ deux cents mètres à bâbord. Un jeune aspirant le vit aussi, alors qu’il était sur la plage arrière. Il courut vers le gaillard pour mieux le voir, mais le brick fantôme et sa lumière spectrale disparurent subitement, laissant la mer aussi calme qu’auparavant.

En 1887, un navire, parti de San Francisco et se rendant en Chine, croisa la route d’un vaisseau fantôme. Les hommes d’équipage virent soudainement un ancien trois-mâts, enveloppé d’une étrange lumière blanche. Il se rapprocha, puis disparut subitement. Les marins notèrent que, malgré un vent très fort, le navire avait toutes ses voiles dehors.

En juillet 1934, à bord du yacht Mary Ann, le capitaine Hampson voguait en pleine mer, lorsqu’il pénétra dans une épaisse nappe de brume. Soudain, un navire surgit par tribord avant : c’était un vieux voilier. Hampson mit aussitôt la voile à gauche, mais trop tard. La Mary Ann éperonna le voilier. Pourtant, il n’y eut aucun fracas de bois brisé, le yacht effectua seulement une très large abattée, l’autre navire restant accroché à lui. Le capitaine examina le navire et son sang se glaça. Nul être humain n’était visible sur le pont. Les voiles déchirées et délavées se gonflaient de brise, mais dans le silence le plus total : pas un bruit de sillage, pas un battement de poulie, aucun craquement de cordage… rien qu’un silence terrifiant. Le navire disparut avant que Hampson eût pu lire son nom. Il était si troublé par son insolite rencontre qu’il ne songea pas à reprendre son ancienne route. Peu de temps après, la brume disparut et le soleil reparut. Hampson distingua alors, à l’horizon, un remorqueur qui tirait un train de bois.

« Alors, rapporta-t-il, j’éprouvai un nouveau choc. Une partie de ce train de bois s’était détaché et se trouvait à fleur d’eau, juste en travers de la route que j’aurais tracée et que j’aurais suivie si je n’en avais été écarté par l’intervention opportune du navire fantôme. »

Le 5 janvier 1937, vers 17 heures, le Khosron voguait prudemment sous une pluie battante, actionnant sa sirène toutes les deux minutes. Soudain, le son d’une autre sirène se fit entendre. Le capitaine fit aussitôt stopper les machines. Brusquement, la forme imprécise d’un navire surgit à bâbord et passa à moins de deux cents mètres. L’équipage put distinctement lire son nom : Tricoleur. Quelques minutes plus tard, la pluie cessa et la vue porta à sept milles. Etant donné leurs vitesses relatives, les deux navires ne pouvaient être éloignés de plus de trois milles. Pourtant, le Tricoleur avait disparu. Robinson, qui venait de faire le point, emmena alors le capitaine dans la chambre des cartes. A l’endroit où les navires s’étaient croisés, la carte indiquait : « M.S. Tricoleur, a explosé et coulé en ce point le 5 janvier 1931, à 17 heures. »

En 1939, une centaine de personnes, sur une plage d’Afrique du Sud, au sud-ouest du Cap, observe un navire, toutes voiles dehors, qui traverse la mer rapidement, alors qu’il n’y a pas un souffle de vent. L’étrange vaisseau disparaît subitement.

En 1942, le destroyer Kennison, de l’U.S. Navy, patrouillait à l’entrée de la baie de San Francisco, à la recherche d’éventuels sous-marins japonais. A cause du brouillard, la visibilité réduite obligeait à naviguer au radar. Tout était calme, lorsque, soudain, deux des marins de quart virent surgir de la brume une forme indétectable au radar : un vieux deux-mâts d’autrefois. Le navire, toutes voiles dehors, passa juste devant le destroyer. Les deux hommes sautèrent sur l’interphone, mais le voilier fantôme avait déjà disparu.

Au printemps suivant, le Kennison eut l’occasion de croiser la route d’un autre vaisseau fantôme. Il patrouillait toujours devant les côtes californiennes, mais au large de San Diego, cette fois. La nuit était calme et étoilée. Sur la passerelle volante, deux marins de guet aperçurent soudain dans leurs jumelles un cargo qui se dirigeait vers eux. Ils donnèrent l’alerte, mais l’officier radar ne détectait rien d’anormal sur son écran. Pourtant, le navire était maintenant visible à l’oeil nu. Il se trouvait à environ 10 km et venait droit sur le destroyer. Puis, tout à coup, il disparut sans laisser de trace.

Autre cas, en 1942, à Mouille Point, aux abords du Cap, où un navire fantôme apparut, s’approchant de la baie de la Table, avant de disparaître subitement.

Si l’on en croit la tradition du village de Merigomish, en Nouvelle-Ecosse (USA), tous les ans, à l’équinoxe d’automne, se produirait toujours la même scène. Un trois-mâts carré arrive du nord-est et se rapproche de la côte. Les lumières des lanternes, sur le pont et dans les gréements, sont parfaitement visibles. Puis, tout à coup, le navire fait une embardée, comme s’il avait heurté un récif ou un banc. L’instant d’après, des flammes jaillissent tandis que des formes sautent à la mer. L’incendie gagne rapidement tout le pont, puis part à l’assaut des agrès et des mâts, dévore bientôt les voiles. Les mâts s’abattent, et, enfin, le vaisseau fantôme disparaît dans les flots.

En 1944, un sous-marin américain croisant au sud de Formose observa un convoi qu’il supposa être japonais. Aucun convoi n’avait pourtant été signalé dans les parages. Le sous-marin le prit en chasse, mais, subitement, les navires disparurent. Des vérifications montrèrent que le convoi le plus proche se trouvait alors à cent milles.

En 1959, deux navires de la marine britannique allèrent au secours d’une embarcation en détresse. Ils eurent la surprise, en s’approchant, de découvrir qu’il s’agissait d’une barge de déparquement de la Seconde Guerre mondiale, arborant le pavillon à croix de Lorraine de la France Libre. Le bateau disparut subitement.

Plus près de nous, en janvier et février 1960, au large de l’Argentine, dans le golfe Nuevo, des sous-marins furent repérés, au sonar, par des destroyers de la marine nationale. Aussitôt, les navires de guerre fermèrent le golfe, et, n’ayant obtenu aucune réponse aux sommations d’usage, décidèrent de couler les sous-marins… en vain. Quelques heures plus tard, les échos sonar disparurent subitement. La situation se reproduit plusieurs fois au cours des semaines suivantes. Un cas similaire de sous-marins fantômes a été répertorié au Danemark.
 
Les navires hantés:

S’il y a des vaisseaux fantômes, il y a aussi des navires hantés.

Le Charles Haskell, un schooner américain spécialement conçu et équipé pour la pêche à la morue, subissait la dernière inspection avant sa mise à l’eau, lorsqu’un des ouvriers glissa et se rompit le cou. Un tel accident fut considéré comme de très mauvais augure dans le milieu maritime très superstitieux, et le marin qui devait en assurer le commandement refusa le poste au dernier moment. Personne ne voulut le remplacer pendant une année, puis, le capitaine Curtis accepta le commandement.

Au cours de sa première campagne de pêche, en 1869, lors d’un hiver très rigoureux, le navire pêchait sur George Bank (Grand Banc de Terre-Neuve), parmi une centaine d’autres bateaux, quand une tempête se leva. Dans la déroute, le Charles Haskell éperonna un autre bateau de pêche, l’envoyant par le fond avec tout son équipage, tandis qu’il put lui-même regagner le port sans encombres.

Au printemps suivant, le Charles Haskell se trouvait de nouveau sur le Grand Banc, lorsque, au sixième jour de la pêche, les deux hommes de quart, à la nuit, virent des hommes en cirés dégoulinant d’eau passer en silence par-dessus le bastingage. Ils avaient la peau blême, le teint cireux, le regard vide. Les deux marins appelèrent le capitaine, et tout l’équipage observa les fantômes s’installer sur les bancs de nage, apprêter et lancer d’invisibles lignes. Puis, les vingt-six marins fantômes repartirent, en file indienne, comme ils étaient venus, pour retourner dans la mer. Le capitaine Curtis fit immédiatement mettre le cap à terre, mais il fallut tout de même passer une autre nuit en mer. A minuit, la même scène se répéta. Mais, cette fois, alors que pointait l’aube et que le navire arrivait en vue de Gloucester (Massachussetts), les marins fantômes repartirent en procession, marchant sur les eaux, en direction de Salem. Ce fut le dernier voyage du Charles Haskell, car plus aucun marin n’accepta de naviguer à son bord.

B.Breed (Etranges histoires de la mer) et François Faivre (« Apparitions en mer », dans La Parapsychologie – Les Apparitions) ont rapporté l’étonnant cas qui suit:

Au cours de l’année 1916, l’Allemagne entreprit de se doter d’une nouvelle flottille de sous-marins. Pendant la construction de l’un d’eux, le UB-65, deux accidents se produisirent l’un après l’autre : une poutre glissa et écrasa deux hommes, puis un dégagement de gaz toxique asphyxia trois autres ouvriers. Ce n’était pourtant qu’un début. Lors de la première sortie du bâtiment, l’un des marins se suicida. Peu après, au cours d’un exercice d’immersion, les commandes se bloquèrent. Le sous-marin resta ainsi douze heures au fond, puis, sans que l’on puisse l’expliquer, le navire répondit de nouveau, et l’équipage put s’en sortir in extremis.

Au cours d’un ravitaillement en vue de sa première croisière d’opérations, une torpille explosa, tuant six hommes, dont le second lieutenant. Pendant les réparations, seuls quelques hommes restèrent à bord, et, pendant un quart de surveillance, deux des marins vinrent trouver l’officier de quart pour lui raconter, effrayés, qu’ils avaient vu le second lieutenant, celui-là même qui était décédé lors de l’explosion de la torpille, monter à bord et se diriger vers la proue. Il s’était ensuite arrêté, et s’était retourné, les bras croisés sur la poitrine, pour les regarder fixement.

Deux jours plus tard, le fantôme réapparut, immobile à l’avant du navire. L’amiral Schroeder, prévenu par un rapport du commandant (qui avait lui-même vu le fantôme) ordonna une enquête. Après avoir envoyé le commandant en congé, il fit, à tout hasard, exorciser l’UB-65. Cela n’empêcha pas les apparitions de continuer de plus belle, et ce jusqu’en 1918. L’amiral décida de remplacer l’équipage. Le nouvel équipage embarqua au mois de juin, pour une mission dans la Manche.

Le 10 juillet 1918, le commandant du sous-marin américain L-2, en patrouille dans la Manche, aperçut, au périscope, un sous-marin allemand en surface, immobile, sans aucun signe de vie sur le pont. Comme il s’agissait peut-être d’une épave, le commandant donna l’ordre de s’en approcher. Il vit alors la silhouette d’un homme immobile, les bras croisés, à la proue du sous-marin allemand. Il nota également l’immatriculation : UB-65. Il s’apprêtait à envoyer une torpille, quand le bâtiment ennemi explosa soudainement, et coula. Très intrigué, il fit un rapport à l’état-major allié, mais on ne put lui fournir aucune explication au mystère. Le 31 juillet, l’état-major allemand publiait un communiqué indiquant : Un de nos sous-marins, l’UB-65, est manquant et doit être considéré comme perdu avec trente-quatre officiers et hommes d’équipage. » L’enquête se poursuivit après la guerre, mais elle n’apporta aucun élément nouveau susceptible d’expliquer ce qui s’était passé. Ainsi, prit fin l’étrange histoire du sous-marin UB-65.

Selon les légendes des marins, la Dame Blanche hante depuis toujours les mers du globe, apparaissant parfois aux marins les plus chanceux. En effet, alors que son homologue terrestre est parfois messagère de mort, la Dame Blanche de la Mer est toujours un heureux présage.

Une telle rencontre se serait produite en 1863. Le capitaine de l’Usk se promenait, un soir, sur le pont de son navire, lorsqu’il vit soudain une forme se matérialiser parmi les haubans : une jeune femme d’une merveilleuse beauté venait d’apparaître. Celle-ci lui dit d’une voix douce, mais ferme, qu’il devait à tout prix retourner à terre, sans quoi il risquait de perdre à la fois son navire et sa vie. Le capitaine obéit et fit demi-tour. Mais, une fois à terre, les armateurs ne l’entendirent pas de cette oreille, et portèrent plainte. Les tribunaux leur donnèrent gain de cause, et les magistrats retirèrent son brevet au capitaine. L’Usk reprit bientôt la mer, avec un nouveau commandant. Peu après, il était détruit en mer par un incendie.

 


 


Commentaires

 

1. cendb  le 23-02-2011 à 01:51:18  (site)

Un blog qui sort de l'ordinaire ...
J'aime ...
Merci de votre passage chez moi ...
Bises nocturne ...

2. Lespsychogirls  le 23-02-2011 à 02:35:24  (site)

Merci à vous aussi.

3. Coconuts  le 23-02-2011 à 10:29:42  (site)

ça devient sérieux ^^
vous nous écrivez des histoires ?
y a de la lecture en tout cas Clin doeil

4. Lespsychogirls  le 23-02-2011 à 17:36:41  (site)

Tout ceci ma belle coco sont des légendes, mais qui sait, il y a peut-être du vrai là dedans.

 
 
 
posté le 22-02-2011 à 23:00:27

L'énigme de la "Mary-Céleste".

Au soir du 4 décembre 1872, la frégate britannique « Del Gratia », commandée par le capitaine David Reed Moorhouse, longe les côtes du Portugal en direction de l’Angleterre, lorsque l’homme de vigie signale la présence d’un brick droit devant. Tout de suite le capitaine Moorhouse remarque que le navire inconnu navigue de façon insolite : il ne cesse de zigzaguer sur la mer, comme s’il était en difficulté. Le « Die Gratia » s’approche et identifie le navire : c’est la « Mary-Céleste » . Le capitaine Moorhouse saisit le porte-voix et interroge : « Ohé ! De la Mary-Céleste ! Auriez-vous besoin d’aide ? ».
Mais rien ne lui répond. En fait, il semble n’y avoir personne sur le pont de la « Mary-Céleste ». De plus en plus intrigué, le capitaine Moorhouse donne ordre à son second, le lieutenant Olly Deveau, de mettre une chaloupe à la mer avec deux hommes et d’aller aux nouvelles. Un sentiment d’angoisse au coeur, le lieutenant Deveau grimpe à bord du quatre-mâts et entreprend de l’inspecter. Il n’y a pas âme qui vive à bord : ni dans les quartiers des équipages ni dans le salon. Personne dans les cales ni dans les cabines. Il lui faut se rendre à l’évidence : la « Mary-Céleste » est déserte.
Officier consciencieux, le lieutenant Deveau visite le navire de fond en comble. Il y découvre une réserve d’eau considérable dans les citernes, encore que les pompes destinées à l’extraire ne soient pas en parfait état de fonctionnement. Il y a également de l’alcool dans les barriques. Les cabines sont jonchées d’objets divers : un harmonium, des bijoux, des vêtements féminins, une poupée, une vieille épée légèrement rouillée. Dans certaines de ces cabines, une couche d’eau de mer recouvre le plancher. C’est l’unique singularité : à part cela tout paraît parfaitement normal.
Plus tard, la légende s’étant emparée de l’histoire, on dira que le lieutenant Deveau et ses compagnons avaient découvert une poule entrain de cuire dans une marmite et une tasse de thé chaud sur une table du salon. On dira même que les embarcations de sauvetage étaient à leur place. Rien de tout cela n’est vrai. Quoi qu’il en soit le lieutenant fait son rapport à son commandant dès son retour sur le « Die Gratia ». Comprenant qu’en vertu des lois de la mer il aurait droit à une prime importante, le capitaine Moorhouse décide de prendre la « Mary-Céleste » en remorque et de ramener le navire à Gibraltar.
A son arrivée, le capitaine Moorhouse demande que ses droits sur l’épave lui soient reconnus. Le tribunal de l’Amirauté, présidé par Mr. J. Solly Flood, se réunit pour juger l’affaire. Le président interroge longuement le lieutenant Deveau et les deux hommes qui l’avaient accompagné lors de l’inspection de la « Mary-Céleste », puis décide de se rendre lui-même sur le navire, afin de l’inspecter à son tour. A un certain moment, l’affaire menace de tourner à l’aigre pour les hommes du « Die Gratia » : le président ne s’est-il pas mis en tête que les taches de rouilles sur l’épée sont en fait des taches de sang ?
Il revient heureusement sur cette opinion. Puis des experts ayant amené la « Mary-Céleste » en cale sèche l’examinèrent sur tous les bords. Ils découvrirent que sa coque était endommagée sous la ligne de flottaison semble avoir été porté par un instrument tranchant ( peut-être un coup de hache ? ). Le président saute sur l’occasion : voilà qui est louche ! La « Mary-Céleste » n’aurait-elle pas été attaquée, et ses passager et son équipage jetés à la mer ? Mais les experts se ravisent. « Après tout, disent-ils, la « Mary-Céleste » est en parfait état ! ».
Ceci soulevait une autre question : si la « Mary-Céleste » était en bon état, pourquoi ses passagers et son équipage l’avaient abandonnée ? Afin de tenter d’élucider ce mystère il faut revenir un mois en arrière, au 4 novembre 1872, le jour où la « Mary-Céleste » avait quitté New, pour ce dramatique voyage. Et faire la connaissance de son commandant, le capitaine Benjamin S. Briggs, de son épouse Sarah, de leur fille Sophie et des sept membres de l'équipage.
Le 4 novembre, donc le brick « Mary-Céleste » quittait le port de New York avec un chargement d’alcool à destination de Gènes. Au début, tout se passa bien : c’est ce que révèle le journal de bord. Mais onze jours après le capitaine Briggs eut porté une dernière mention dans le journal, la « Mary-Céleste » était découverte abandonnée par l’équipage du « Die Gratia », au large du Portugal.

Que s’était-il dont passé entre-temps ?

Le président du Tribunal Maritime de Gibraltar ne manquant pas d’imagination donna ses conclusions à la fin de l’enquête. Elles firent sensation : « A mon avis, dit-il l’équipage de la « Mary-Céleste » perdant collectivement la raison après avoir absorbé trop d ’alcool, a exterminé le capitaine et sa famille et pris la fuite dans la chaloupe dès que le « Die Gratia » fut en vue» . En tout état de cause, il attribua une récompense de 1 000 livres à l’équipage du navire sauveteur.

Et l’affaire en resta là. Mais avec le temps, la légende de la « Mary-Céleste » ne fit que croître et embellir. Dans le monde entier, des « experts » cherchaient une explication au mystère. C’est ainsi que certains ont émis l’hypothèse de l’apparition d’un monstre effrayant à proximité du navire. Épouvantés par la vision, l’équipage, la femme du capitaine Briggs, sa fille et lui-même, aurait cherché à fuir par tous les moyens l’épouvantable vision. Et ils seraient tombés à l’eau ...

Une autre explication voulait qu’Edward Head, le cuisinier du bord fût fou. Ayant introduit du poison à bord du bateau, il aurait successivement assassiné tous les membres d’équipage etc. Puis il se serait débarrassé des cadavres. Pris de remords ou de peur, à l’apparition du « Die Gratia », il se serait jeté à l’eau. C’est de cette version qu’est née la fable de la tasse de thé chaud et de la poule entrain de cuire dans une marmite sur la « Mary-Céleste » à l’arrivée des secours ... Ce n’est pas très convaincant.

Une autre version explique que la « Mary-Céleste » avait heurté un haut-fond de sable non signalé sur les cartes, en plein océan. L’équipage du navire aurait quitté le bateau dans l’espoir de gagner une côte et aurait fait naufrage ensuite. A signaler qu’en 1936 le capitaine du vapeur « Girl Pat » découvrit un tel banc de sable. Les océanographes expliquent que ces bancs de sables peuvent se former et disparaître rapidement sous l’action des marées. Ceci expliquerait peut-être les dégâts subis par la coque de la « Mary-Céleste ».

Ce n’est que vers 1940 que l’explication la plus vraisemblable apparut. Il y avait de l’alcool, à bord de la « Mary-Céleste » ; c’est un liquide hautement inflammable. Alors, pourquoi pas imaginer qu’à la suite d’un accident (une accumulation de vapeur d’alcool par exemple), le capitaine Briggs ait eu de bonnes raisons de penser qu’une explosion allait se produire dans les cales ? Dans ce cas, il pourrait avoir donné ordre à chacun de prendre place dans la chaloupe. L’évacuation se serait déroulée en hâte mais en bonne ordre.
Cette hâte expliquerait peut-être le fait que les voiles soient restées hissées : le capitaine Briggs ne voulait pas risquer la vie de ses hommes en prolongeant leur séjour sur le bateau. Il aurait donné ordre par la suite de se tenir à bonne distance de la « Mary-Céleste »en attendant la suite des événements. La chaloupe était reliée au navire par un cordage. Et soudain, ce fut le drame ! Un coup de vent balaya la mer, brutalement rompit la remorque. La « Mary-Céleste » s’éloignait sur l’océan, sans que les rameurs de la chaloupe aient espoir de jamais la rejoindre.

Bien que nous ne découvriront jamais la vérité, une telle hypothèse est fort probable.

De nos jours, les services de sauvetage tenteraient d’agir rapidement et une embarcation à la dérive aurait de grandes chances d’être retrouvée, mais nous étions en 1872 ...

 

 

 

 


Commentaires

 

1. capellinetta  le 22-02-2011 à 22:28:40  (site)

Intéressante enigme, connaissais pas.Par contre ;les psychogirls , suis incapable de regarder un film d'horreur,même un extrait...Question de sensiblité. Un jour, quand je s'rai grande, bonne soirée Clin doeil

2. Lespsychogirls  le 22-02-2011 à 22:30:10  (site)

Lol, on é pareil jpense, moi ya d film, jlé fé en plusieur foi, télmen g la trouill.
Bonne soirée à vous aussi.

 
 
 
posté le 22-02-2011 à 22:18:28

Le Hollandais volant.

Le Hollandais volant, aussi connu sous le nom de "voltigeur hollandais" ou "the Flying Dutchman" est sans nul doute était le plus connu de tous les vaisseaux fantômes. Le mystère entourant sa disparition et la mort de son équipage n'a d'égal que celui entourant ses très nombreuses apparitions. Le hollandais volant est donc le personnage central d'une quantité imprésionnante de légendes maritimes. Issu d'une rumeur qui circulait dans les Caraïbes aux premières aire de la piratrie, le Hollandais volant était supposé être le revenant d'un capitaine de fortune, qui avec un équipage d'ectoplasmes à bord de son vaisseau fantôme, attaquait par traitise tous les navires et cela sur toutes les mers du globe pour l'éternité.


Historiques et Histoires du Hollandais Volant :


A) Sa premiéres apparitions :
Une brume de chaleur flottait sur les eaux bleues de l'ocean Indien.C'est par une chaude journée de mars 1939 que commença la légende du hollandais Volant....
Dans l'Annuaire britannique d'afrique du sud, édition de 1939 nous pouvons lire le récit d'un temoin réfutant avec précision une des apparitions du bateau fantôme :
"Nous étions moi et plusieurs autres personnes sur une plage en train de profiter du soleil quand soudain un bateau apparie sous nos yeux,  nous ne fîmes pas vraiment attention au début, sauf moi qui trouvais son aspect assez mystérieux ....En effet il suivait son cap sans dévier, les voiles pleines alors qu'aucun vent ne pouvait se faire ressentir; droit vers la plage...il se rapprochait de plus en plus de nous ...Et nous fûmes tres vite apeurés..Ceux qui ne se doutaient d'aucune menace furent tres vite prévenus par les autres...nous etions tous debouts apeurés  par cette chose qui se rapprochait de plus en plus,à l'instant
même où l'excitation était à son comble, le bateau fantôme s'évanouit dans les airs aussi mystérieusement qu'il etait venu,
nous laissant seul debouts apeurés par ce que nous venions de voir....Comment expliquer l'apparition de ce vaisseau qui allait vraisemblablement s'echouer quelque part dans les sables devant nos yeux."
Dans les jours qui suivirent l'apparition du vaisseau fantôme, on formula bien des hypothèses. On prétendait, par exemple, que les témoins avaient été victimes d'hallucinations, qu'ils avaient été le jouet d'un mirage  (Des anomalies dans la réfraction des rayons lumineux à travers l'atmosphére avaient reproduit devant eux l'image d'un navire qui naviguait à plusieurs centaines de kilomètres de là).
Mais comme le soulignèrent les témoins, ce genre de coque, large et haute à l'avant, rabaissée à l'arrière, pouvaient difficilement appartenir à un bateau moderne: c'était là, sans aucun doute, un bâteau marchand du  XVIIe siècle....étrange NON??.

Un des témoins déclara: << laissez dire aux sceptiques ce qu'il veulent, ce bateau n'était autre que le bateau du Hollandais Volant >>.
 

B) Les legendes du bateau fantome :
Il existe plusieurs légendes concernant l’origine de ce vaisseau fantôme.
La plus connue est celle qui inspira Richard Wagner pour son opéra « Le Vaisseau Fantôme ». Au XVIIème siècle, au large du Cap de Bonne Espérance, le Capitaine Van der Decken subissait la plus forte tempête que sa carrière de marin n’ait jamais vue. Hurlant et injuriant Dieu car le bateau était sur le point de sombrer, il fut maudit à jamais ; condamné à errer sur les flots et dans les limbes, n’étant ni mort ni vivant. Il sera « délivré » par l’amour de sa femme qui acceptera de mourir pour sauver son âme.

La deuxième légende se situe vers 1650. A Amsterdam vivait Barent Fokke un capitaine réputée pour ses colères, son mauvais caractère et surtout pour son bateau, le plus rapide du pays, capable de rallier Batavia à Amsterdam en à peine trois mois. La rumeur voulait que Fokke ait passé un pacte avec le diable afin que son navire soit le plus rapide d’entre tous les bateaux. Un jour, il disparut corps et biens. La légende naissait : comme il était maudit, il était condamné à errer éternellement sur les océans.

Quelques soient les versions, les témoignages de marins ayant croisés le « Hollandais Volant » et ses voiles rouges, ont été enregistrés depuis le 17ème. En 1881, le futur roi d’Angleterre, George V, alors duc d’York, fut le témoin d’une bien étrange apparition au large des côtes australiennes. Alors qu’il prenait le frais sur le pont, il aperçut un halo rougeâtre dans la nuit noire et opaque. Un immense vaisseau apparut et passa devant le bateau, sans aucun bruit… Le lendemain, un des marins de quart cette nuit là, tombait d’un mât et se tuait. Quelques jours plus tard ce fut le tour de l’amiral qui commandait cette flotte. Certains pensèrent à une malédiction provenant du « Hollandais Volant ».

Le journal de bord de « La Bacchante » relate les faits :
« quatre heures du matin , un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L'homme de bossoir le signala sur l'avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève officier fut envoyé dans la vigie, Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucune signe d'un navire réel. seize personnes ont été témoins de l'apparition. a nuit était claire et la mer calme. Le Tourmaline et le Cléopâtre qui naviguaient par tribord avant nous demandèrent par signaux si nous avions vu l'étrange lumière rouge ».

D’autres manifestation de ce vaisseau fantômes eurent lieu. En 1887 il fut aperçut par l’équipage de l’Orion, vaisseau américain naviguant vers la Chine. C’est d’une plage d’Afrique du Sud, en 1939, que des témoins verront un trois mats qui file toutes voiles dehors, alors qu’il n’y a pas de vent, et disparaît brusquement.

 

                                     



 

 


 
 
posté le 22-02-2011 à 21:53:05

Le Queen Mary et ces fantômes.

Voici 2 histoires de Queen Mary et de ces fantômes.

 

Un étrange paquebot , considéré comme le plus grand du monde a sa construction en 1934, a fait parlé de lui de par d'étranges phénomenes de revenants ou esprits constatées a maintes reprises...
Il est à ce jour reconverti en hotel...Ainsi de nombreux hôtes auraient ainsi été confrontés a diverses expériences...
En effet, Des gens sont morts sur le vaisseau, par accident, de maladie.
Queen Mary a même coupé en deux un croiseur britannique moins rapide que lui, et entrainé la mort de 336 soldats...
Certains visiteurs récents prétendent avoir entendu le choc, les craquements, et les gémissements des esprits sans repos. Des hôtes de l'hôtel ont entendu des pas, depuis leur cabine, certains en se penchant sur le pont ont senti des mains les tirer en arriere, en signe de sécurité. D'autres, soudain éveillés au milieu de la nuit, ont vu, au pied de leur lit, une personne les regarder dormir et s'évanouir après quelques secondes. Des visiteurs ont observé, plusieurs fois au cours de la même journée, le même personnage apparaître et disparaître en divers endroits du bateau. Chaque fois, l'ectoplasme portait des vêtements du passé, blazers de Gatsby le Magnifique ou robes longues de Greta Garbo.
Une femme au moins a raconté qu'elle s'était soudain sentie emportée dans une autre époque pendant quelques instants, comme si un esprit avait pris possession d'elle. Les ombres fugaces des fantômes hantent pièces et couloirs du vaisseau, au point qu'un tour spécial est organisé, sous l'égide d'un spécialiste du paranormal.

 

En 1936, le Queen Mary est le grand paquebot de luxe jamais construit. Après 1001 traversées de l’Atlantique avec, à son bord à chaque voyage, plus de 2 000 passagers et membres d’équipage, le prestigieux navire serait aujourd’hui devenu l’un des lieux les plus hantés de la planète.

Transformé en hôtel restant définitivement à quai (dans le port de Long Beach, en Californie), il accueille désormais des touristes nostalgiques ou des amateurs de phénomènes étranges, tellement nombreux qu’un centre de recherche sur le paranormal a été installé dans le bâtiment. De nombreuses visites guidées, en journée ou de nuit, sont également proposées au public, à la découverte des légendes et fantômes du Queen Mary. Le tour de minuit, chaque vendredi, se fait même à l’aide d’enregistreurs audio et autres détecteurs de mouvements, afin de pouvoir entrer en communication avec les revenants.

Durant ces visites, on passe notamment par l’ancienne piscine de la Première Classe, qui serait hantée par deux noyées, l’une dans les années 30, l’autre dans les années 60. Plusieurs médiums auraient aussi ressenti des ondes très négatives dans les cabines du bassin, où une femme fut autrefois violée. Le «Queen’s Salon», quant à lui, serait fréquenté par une dame en robe blanche, tandis que la cabine B340 ne serait plus jamais louée… faute de tranquillité. On dit également que, dans certaines salles, les appareils photos et caméras cesseraient brutalement et inexplicablement de fonctionner, tandis que dans la cabine où séjourna Winston Churchill, on sentirait encore la fumée de ses cigares…

 

 

 

 


Commentaires

 

1. capellinetta  le 22-02-2011 à 22:32:17  (site)

fascinant,je m'instruis, suis plus calée en littérature fantastique.Je trouve que votre blog est très bien rédigé .

2. Lespsychogirls  le 22-02-2011 à 22:35:57  (site)

Merci, c'est gentil.

 
 
 
 

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