1. cendb le 23-02-2011 à 01:51:18 (site)
Un blog qui sort de l'ordinaire ...
J'aime ...
Merci de votre passage chez moi ...
Bises nocturne ...
2. Lespsychogirls le 23-02-2011 à 02:35:24 (site)
Merci à vous aussi.
3. Coconuts le 23-02-2011 à 10:29:42 (site)
ça devient sérieux ^^
vous nous écrivez des histoires ?
y a de la lecture en tout cas
4. Lespsychogirls le 23-02-2011 à 17:36:41 (site)
Tout ceci ma belle coco sont des légendes, mais qui sait, il y a peut-être du vrai là dedans.
Au soir du 4 décembre 1872, la frégate britannique « Del Gratia », commandée par le capitaine David Reed Moorhouse, longe les côtes du Portugal en direction de l’Angleterre, lorsque l’homme de vigie signale la présence d’un brick droit devant. Tout de suite le capitaine Moorhouse remarque que le navire inconnu navigue de façon insolite : il ne cesse de zigzaguer sur la mer, comme s’il était en difficulté. Le « Die Gratia » s’approche et identifie le navire : c’est la « Mary-Céleste » . Le capitaine Moorhouse saisit le porte-voix et interroge : « Ohé ! De la Mary-Céleste ! Auriez-vous besoin d’aide ? ».
Mais rien ne lui répond. En fait, il semble n’y avoir personne sur le pont de la « Mary-Céleste ». De plus en plus intrigué, le capitaine Moorhouse donne ordre à son second, le lieutenant Olly Deveau, de mettre une chaloupe à la mer avec deux hommes et d’aller aux nouvelles. Un sentiment d’angoisse au coeur, le lieutenant Deveau grimpe à bord du quatre-mâts et entreprend de l’inspecter. Il n’y a pas âme qui vive à bord : ni dans les quartiers des équipages ni dans le salon. Personne dans les cales ni dans les cabines. Il lui faut se rendre à l’évidence : la « Mary-Céleste » est déserte.
Officier consciencieux, le lieutenant Deveau visite le navire de fond en comble. Il y découvre une réserve d’eau considérable dans les citernes, encore que les pompes destinées à l’extraire ne soient pas en parfait état de fonctionnement. Il y a également de l’alcool dans les barriques. Les cabines sont jonchées d’objets divers : un harmonium, des bijoux, des vêtements féminins, une poupée, une vieille épée légèrement rouillée. Dans certaines de ces cabines, une couche d’eau de mer recouvre le plancher. C’est l’unique singularité : à part cela tout paraît parfaitement normal.
Plus tard, la légende s’étant emparée de l’histoire, on dira que le lieutenant Deveau et ses compagnons avaient découvert une poule entrain de cuire dans une marmite et une tasse de thé chaud sur une table du salon. On dira même que les embarcations de sauvetage étaient à leur place. Rien de tout cela n’est vrai. Quoi qu’il en soit le lieutenant fait son rapport à son commandant dès son retour sur le « Die Gratia ». Comprenant qu’en vertu des lois de la mer il aurait droit à une prime importante, le capitaine Moorhouse décide de prendre la « Mary-Céleste » en remorque et de ramener le navire à Gibraltar.
A son arrivée, le capitaine Moorhouse demande que ses droits sur l’épave lui soient reconnus. Le tribunal de l’Amirauté, présidé par Mr. J. Solly Flood, se réunit pour juger l’affaire. Le président interroge longuement le lieutenant Deveau et les deux hommes qui l’avaient accompagné lors de l’inspection de la « Mary-Céleste », puis décide de se rendre lui-même sur le navire, afin de l’inspecter à son tour. A un certain moment, l’affaire menace de tourner à l’aigre pour les hommes du « Die Gratia » : le président ne s’est-il pas mis en tête que les taches de rouilles sur l’épée sont en fait des taches de sang ?
Il revient heureusement sur cette opinion. Puis des experts ayant amené la « Mary-Céleste » en cale sèche l’examinèrent sur tous les bords. Ils découvrirent que sa coque était endommagée sous la ligne de flottaison semble avoir été porté par un instrument tranchant ( peut-être un coup de hache ? ). Le président saute sur l’occasion : voilà qui est louche ! La « Mary-Céleste » n’aurait-elle pas été attaquée, et ses passager et son équipage jetés à la mer ? Mais les experts se ravisent. « Après tout, disent-ils, la « Mary-Céleste » est en parfait état ! ».
Ceci soulevait une autre question : si la « Mary-Céleste » était en bon état, pourquoi ses passagers et son équipage l’avaient abandonnée ? Afin de tenter d’élucider ce mystère il faut revenir un mois en arrière, au 4 novembre 1872, le jour où la « Mary-Céleste » avait quitté New, pour ce dramatique voyage. Et faire la connaissance de son commandant, le capitaine Benjamin S. Briggs, de son épouse Sarah, de leur fille Sophie et des sept membres de l'équipage.
Le 4 novembre, donc le brick « Mary-Céleste » quittait le port de New York avec un chargement d’alcool à destination de Gènes. Au début, tout se passa bien : c’est ce que révèle le journal de bord. Mais onze jours après le capitaine Briggs eut porté une dernière mention dans le journal, la « Mary-Céleste » était découverte abandonnée par l’équipage du « Die Gratia », au large du Portugal.Que s’était-il dont passé entre-temps ?
Le président du Tribunal Maritime de Gibraltar ne manquant pas d’imagination donna ses conclusions à la fin de l’enquête. Elles firent sensation : « A mon avis, dit-il l’équipage de la « Mary-Céleste » perdant collectivement la raison après avoir absorbé trop d ’alcool, a exterminé le capitaine et sa famille et pris la fuite dans la chaloupe dès que le « Die Gratia » fut en vue» . En tout état de cause, il attribua une récompense de 1 000 livres à l’équipage du navire sauveteur.
Et l’affaire en resta là. Mais avec le temps, la légende de la « Mary-Céleste » ne fit que croître et embellir. Dans le monde entier, des « experts » cherchaient une explication au mystère. C’est ainsi que certains ont émis l’hypothèse de l’apparition d’un monstre effrayant à proximité du navire. Épouvantés par la vision, l’équipage, la femme du capitaine Briggs, sa fille et lui-même, aurait cherché à fuir par tous les moyens l’épouvantable vision. Et ils seraient tombés à l’eau ...
Une autre explication voulait qu’Edward Head, le cuisinier du bord fût fou. Ayant introduit du poison à bord du bateau, il aurait successivement assassiné tous les membres d’équipage etc. Puis il se serait débarrassé des cadavres. Pris de remords ou de peur, à l’apparition du « Die Gratia », il se serait jeté à l’eau. C’est de cette version qu’est née la fable de la tasse de thé chaud et de la poule entrain de cuire dans une marmite sur la « Mary-Céleste » à l’arrivée des secours ... Ce n’est pas très convaincant.
Une autre version explique que la « Mary-Céleste » avait heurté un haut-fond de sable non signalé sur les cartes, en plein océan. L’équipage du navire aurait quitté le bateau dans l’espoir de gagner une côte et aurait fait naufrage ensuite. A signaler qu’en 1936 le capitaine du vapeur « Girl Pat » découvrit un tel banc de sable. Les océanographes expliquent que ces bancs de sables peuvent se former et disparaître rapidement sous l’action des marées. Ceci expliquerait peut-être les dégâts subis par la coque de la « Mary-Céleste ».
Ce n’est que vers 1940 que l’explication la plus vraisemblable apparut. Il y avait de l’alcool, à bord de la « Mary-Céleste » ; c’est un liquide hautement inflammable. Alors, pourquoi pas imaginer qu’à la suite d’un accident (une accumulation de vapeur d’alcool par exemple), le capitaine Briggs ait eu de bonnes raisons de penser qu’une explosion allait se produire dans les cales ? Dans ce cas, il pourrait avoir donné ordre à chacun de prendre place dans la chaloupe. L’évacuation se serait déroulée en hâte mais en bonne ordre.
Cette hâte expliquerait peut-être le fait que les voiles soient restées hissées : le capitaine Briggs ne voulait pas risquer la vie de ses hommes en prolongeant leur séjour sur le bateau. Il aurait donné ordre par la suite de se tenir à bonne distance de la « Mary-Céleste »en attendant la suite des événements. La chaloupe était reliée au navire par un cordage. Et soudain, ce fut le drame ! Un coup de vent balaya la mer, brutalement rompit la remorque. La « Mary-Céleste » s’éloignait sur l’océan, sans que les rameurs de la chaloupe aient espoir de jamais la rejoindre.Bien que nous ne découvriront jamais la vérité, une telle hypothèse est fort probable.
De nos jours, les services de sauvetage tenteraient d’agir rapidement et une embarcation à la dérive aurait de grandes chances d’être retrouvée, mais nous étions en 1872 ...
1. capellinetta le 22-02-2011 à 22:28:40 (site)
Intéressante enigme, connaissais pas.Par contre ;les psychogirls , suis incapable de regarder un film d'horreur,même un extrait...Question de sensiblité. Un jour, quand je s'rai grande, bonne soirée
2. Lespsychogirls le 22-02-2011 à 22:30:10 (site)
Lol, on é pareil jpense, moi ya d film, jlé fé en plusieur foi, télmen g la trouill.
Bonne soirée à vous aussi.
Le Hollandais volant, aussi connu sous le nom de "voltigeur hollandais" ou "the Flying Dutchman" est sans nul doute était le plus connu de tous les vaisseaux fantômes. Le mystère entourant sa disparition et la mort de son équipage n'a d'égal que celui entourant ses très nombreuses apparitions. Le hollandais volant est donc le personnage central d'une quantité imprésionnante de légendes maritimes. Issu d'une rumeur qui circulait dans les Caraïbes aux premières aire de la piratrie, le Hollandais volant était supposé être le revenant d'un capitaine de fortune, qui avec un équipage d'ectoplasmes à bord de son vaisseau fantôme, attaquait par traitise tous les navires et cela sur toutes les mers du globe pour l'éternité.
Historiques et Histoires du Hollandais Volant :
A) Sa premiéres apparitions :
Une brume de chaleur flottait sur les eaux bleues de l'ocean Indien.C'est par une chaude journée de mars 1939 que commença la légende du hollandais Volant....
Dans l'Annuaire britannique d'afrique du sud, édition de 1939 nous pouvons lire le récit d'un temoin réfutant avec précision une des apparitions du bateau fantôme :
"Nous étions moi et plusieurs autres personnes sur une plage en train de profiter du soleil quand soudain un bateau apparie sous nos yeux, nous ne fîmes pas vraiment attention au début, sauf moi qui trouvais son aspect assez mystérieux ....En effet il suivait son cap sans dévier, les voiles pleines alors qu'aucun vent ne pouvait se faire ressentir; droit vers la plage...il se rapprochait de plus en plus de nous ...Et nous fûmes tres vite apeurés..Ceux qui ne se doutaient d'aucune menace furent tres vite prévenus par les autres...nous etions tous debouts apeurés par cette chose qui se rapprochait de plus en plus,à l'instant même où l'excitation était à son comble, le bateau fantôme s'évanouit dans les airs aussi mystérieusement qu'il etait venu, nous laissant seul debouts apeurés par ce que nous venions de voir....Comment expliquer l'apparition de ce vaisseau qui allait vraisemblablement s'echouer quelque part dans les sables devant nos yeux."
Dans les jours qui suivirent l'apparition du vaisseau fantôme, on formula bien des hypothèses. On prétendait, par exemple, que les témoins avaient été victimes d'hallucinations, qu'ils avaient été le jouet d'un mirage (Des anomalies dans la réfraction des rayons lumineux à travers l'atmosphére avaient reproduit devant eux l'image d'un navire qui naviguait à plusieurs centaines de kilomètres de là).
Mais comme le soulignèrent les témoins, ce genre de coque, large et haute à l'avant, rabaissée à l'arrière, pouvaient difficilement appartenir à un bateau moderne: c'était là, sans aucun doute, un bâteau marchand du XVIIe siècle....étrange NON??.
Un des témoins déclara: << laissez dire aux sceptiques ce qu'il veulent, ce bateau n'était autre que le bateau du Hollandais Volant >>.
B) Les legendes du bateau fantome :
Il existe plusieurs légendes concernant l’origine de ce vaisseau fantôme.
La plus connue est celle qui inspira Richard Wagner pour son opéra « Le Vaisseau Fantôme ». Au XVIIème siècle, au large du Cap de Bonne Espérance, le Capitaine Van der Decken subissait la plus forte tempête que sa carrière de marin n’ait jamais vue. Hurlant et injuriant Dieu car le bateau était sur le point de sombrer, il fut maudit à jamais ; condamné à errer sur les flots et dans les limbes, n’étant ni mort ni vivant. Il sera « délivré » par l’amour de sa femme qui acceptera de mourir pour sauver son âme.
La deuxième légende se situe vers 1650. A Amsterdam vivait Barent Fokke un capitaine réputée pour ses colères, son mauvais caractère et surtout pour son bateau, le plus rapide du pays, capable de rallier Batavia à Amsterdam en à peine trois mois. La rumeur voulait que Fokke ait passé un pacte avec le diable afin que son navire soit le plus rapide d’entre tous les bateaux. Un jour, il disparut corps et biens. La légende naissait : comme il était maudit, il était condamné à errer éternellement sur les océans.
Quelques soient les versions, les témoignages de marins ayant croisés le « Hollandais Volant » et ses voiles rouges, ont été enregistrés depuis le 17ème. En 1881, le futur roi d’Angleterre, George V, alors duc d’York, fut le témoin d’une bien étrange apparition au large des côtes australiennes. Alors qu’il prenait le frais sur le pont, il aperçut un halo rougeâtre dans la nuit noire et opaque. Un immense vaisseau apparut et passa devant le bateau, sans aucun bruit… Le lendemain, un des marins de quart cette nuit là, tombait d’un mât et se tuait. Quelques jours plus tard ce fut le tour de l’amiral qui commandait cette flotte. Certains pensèrent à une malédiction provenant du « Hollandais Volant ».
Le journal de bord de « La Bacchante » relate les faits :
« quatre heures du matin , un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L'homme de bossoir le signala sur l'avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève officier fut envoyé dans la vigie, Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucune signe d'un navire réel. seize personnes ont été témoins de l'apparition. a nuit était claire et la mer calme. Le Tourmaline et le Cléopâtre qui naviguaient par tribord avant nous demandèrent par signaux si nous avions vu l'étrange lumière rouge ».
D’autres manifestation de ce vaisseau fantômes eurent lieu. En 1887 il fut aperçut par l’équipage de l’Orion, vaisseau américain naviguant vers la Chine. C’est d’une plage d’Afrique du Sud, en 1939, que des témoins verront un trois mats qui file toutes voiles dehors, alors qu’il n’y a pas de vent, et disparaît brusquement.
Voici 2 histoires de Queen Mary et de ces fantômes.
Un étrange paquebot , considéré comme le plus grand du monde a sa construction en 1934, a fait parlé de lui de par d'étranges phénomenes de revenants ou esprits constatées a maintes reprises...
Il est à ce jour reconverti en hotel...Ainsi de nombreux hôtes auraient ainsi été confrontés a diverses expériences...
En effet, Des gens sont morts sur le vaisseau, par accident, de maladie.
Queen Mary a même coupé en deux un croiseur britannique moins rapide que lui, et entrainé la mort de 336 soldats...
Certains visiteurs récents prétendent avoir entendu le choc, les craquements, et les gémissements des esprits sans repos. Des hôtes de l'hôtel ont entendu des pas, depuis leur cabine, certains en se penchant sur le pont ont senti des mains les tirer en arriere, en signe de sécurité. D'autres, soudain éveillés au milieu de la nuit, ont vu, au pied de leur lit, une personne les regarder dormir et s'évanouir après quelques secondes. Des visiteurs ont observé, plusieurs fois au cours de la même journée, le même personnage apparaître et disparaître en divers endroits du bateau. Chaque fois, l'ectoplasme portait des vêtements du passé, blazers de Gatsby le Magnifique ou robes longues de Greta Garbo.
Une femme au moins a raconté qu'elle s'était soudain sentie emportée dans une autre époque pendant quelques instants, comme si un esprit avait pris possession d'elle. Les ombres fugaces des fantômes hantent pièces et couloirs du vaisseau, au point qu'un tour spécial est organisé, sous l'égide d'un spécialiste du paranormal.
En 1936, le Queen Mary est le grand paquebot de luxe jamais construit. Après 1001 traversées de l’Atlantique avec, à son bord à chaque voyage, plus de 2 000 passagers et membres d’équipage, le prestigieux navire serait aujourd’hui devenu l’un des lieux les plus hantés de la planète.
Transformé en hôtel restant définitivement à quai (dans le port de Long Beach, en Californie), il accueille désormais des touristes nostalgiques ou des amateurs de phénomènes étranges, tellement nombreux qu’un centre de recherche sur le paranormal a été installé dans le bâtiment. De nombreuses visites guidées, en journée ou de nuit, sont également proposées au public, à la découverte des légendes et fantômes du Queen Mary. Le tour de minuit, chaque vendredi, se fait même à l’aide d’enregistreurs audio et autres détecteurs de mouvements, afin de pouvoir entrer en communication avec les revenants.
Durant ces visites, on passe notamment par l’ancienne piscine de la Première Classe, qui serait hantée par deux noyées, l’une dans les années 30, l’autre dans les années 60. Plusieurs médiums auraient aussi ressenti des ondes très négatives dans les cabines du bassin, où une femme fut autrefois violée. Le «Queen’s Salon», quant à lui, serait fréquenté par une dame en robe blanche, tandis que la cabine B340 ne serait plus jamais louée… faute de tranquillité. On dit également que, dans certaines salles, les appareils photos et caméras cesseraient brutalement et inexplicablement de fonctionner, tandis que dans la cabine où séjourna Winston Churchill, on sentirait encore la fumée de ses cigares…
1. capellinetta le 22-02-2011 à 22:32:17 (site)
fascinant,je m'instruis, suis plus calée en littérature fantastique.Je trouve que votre blog est très bien rédigé .
2. Lespsychogirls le 22-02-2011 à 22:35:57 (site)
Merci, c'est gentil.
Commentaires