Cette figure bien connue de l'hébergement canadien peut se vanter d'avoir plus d'un esprit résident.
Quiconque perd ses clés pourra se tourner vers Sam le chasseur, un ancien employé qui a pris sa retraite en 1967.
Après son décès survenu quelques années plus tard, il est prétendument « retourné » à l'hôtel.
Vêtu de son uniforme des années 60, Sam apparaît afin d'assister les clients qui ont de la difficulté avec leur porte verrouillée.
Quand on lui parle, il disparaît illico.
Il vaut mieux donc vérifier que vous ayez bien vos clés en votre possession.
Mais ce n'est pas le seul fantôme du site.
Dans les années 20, une jeune mariée ayant côtoyé de trop près les chandelles qui éclairaient les lieux a vu sa robe prendre en feu dans le grand escalier en spirale.
En panique, elle a glissé et déboulé les escaliers, se cassant le cou.
Les employés rapportent depuis entendre d'étranges bruits dans la suite nuptiale.
Une apparition vêtue d'une robe de mariage serait aussi aperçue dans les escaliers, disparaissant après avoir pris en feu.
Voici le témoignage sur la maison qui saigne:
Il y a quelques mois, après une randonnée en forêt de Fontainebleau, nous faisons halte dans un joli village où nous tombons en arrêt devant un magnifique bâtiment ancien portant un écriteau : "A Vendre".
Pour nous, c'est le coup de foudre.
Certes, le corps de ferme semble bien délabré et il faudra d'importants travaux pour le rendre habitable. Mais notre amour des vieilles pierres nous incite à nous enquérir du prix.
Nous trouvons le gîte et le couvert non loin de là, au café-hôtel de la place.
Ma femme se renseigne auprès de l'aubergiste depuis combien de temps la maison est à vendre et quel en est le propriétaire.
Notre hôte nous regarde, intrigué.
- Vous m'êtes sympathiques! Alors si je peux vous donner un conseil, laissez tomber! C'est une affaire pourrie! La bicoque est hantée! Cette remarque nous ferait plutôt sourire. Professeurs tous deux, d'esprit cartésien, les histoires de maisons hantées ne nous impressionnent guère.
Bras-dessus, bras-dessous, nous arrivons devant la demeure. Sa beauté et le parfum de légende qui l'entoure nous émeut. Pourtant, Jacqueline et moi ne sommes ni émotifs ni croyants. Ce qui nous attirait dans cette vieille bâtisse, c'était l'harmonie incroyable de son architecture, le mystère émouvant de ses pierres blondes. Tout en elle était parfait. Nous admirons en silence la vaste toiture en jolies tuiles de Bourgogne, la porte de la grange en voûte soulignée par deux contreforts de pierre de Château-Landon, l'imposant escalier à balustre accédant de guingois à une porte en plein cîntre, le four à pain aussi haut qu'une toure incorporé à la façade.
Une glycine centenaire se lovait le long des cornières, répandant à profusion ses grappes parfumées. Ici et là, un rosier aux fleurs à l'ancienne jaillissait entre les pavés mal assemblés et jetait des feux de couleur vive sur la patine du vieux puits.
Tous ceux qui ont habité la ferme depuis plus de 100 ans ont connu une mort suspecte ou sont devenus fous...
Notre visite commença par la grange. Vingt mètres de long sur dix de large. Issu des murs épais d'un mètre se déployait un appareil de poutres impressionnant rayonnant en bouquet au-dessus de nos têtes.
Une chouette hulotte s'enfuit en poussant des cris d'effroi par une ouverture du toit. Suspendues aux solives, des chauves-souris énormes, dérangées dans leur sommeil, se balançaient en agitant, leurs ailes gluantes.
Nous étions là, bouche bée, à admirer cette grange-cathédrale, lorsque ma femme bondit en arrière, en poussant un cri. - Mon Dieu!
Je regardai la main rougie qu'elle tendait vers moi. On eût dit qu'elle venait de tremper son avant-bras dans du sang.
Nous refluons vers la porte et là, au soleil, nous examinons la chose avec calme. Bien que du coude à l'extrémité de ses doigts son membre parût saigner, Jacqueline ne portait aucune blessure. Je courus tirer un seau d'eau à la margelle du puits et je lavai le bras de mon épouse.
J'eus de la peine à dissoudre les mystérieuses taches poisseuses, mais au bout de cinq minutes il n'y paraissait plus.
Nous visitons alors l'habitation proprement dite, découvrons une pièce avec une cheminée, une cusinière de fonte à l'ancienne, quelques pauvres meubles sans âge recouverts de poussière.
A l'étage, des chambres aux proportions magnifiques, avec un mobilier disparate et complètement déglingué, des chaises dépaillées, des fauteuils écroulés, des tables bancales. Disséminés partout, d'immenses placards aux portes de chêne finement moulurées.
Notre visite terminée, notre coup de foudre pour ces vieilles pierres demeure, malgré l'incident bizarre. Nous rapportons les clés à l'étude et demandons au clerc le prix de la propriété.
Cent cinquante mille francs. Vingt-trois mille euros. En l'état. Fantômes inclus! nous précise le tabellion, pince sans rire.
Ce n'était pas un mauvais prix. Evidemment, "en l'état" la maison était inhabitable. Mais ma femme et moi aimions bricoler. Retaper cette vieille bâtisse ne nous faisait pas peur.
Bien que j'éprouvasse une forte répugnance à cette démarche, je me décidai tout de même à rendre visite au vieux curé de notre paroisse. Le brave homme me reçut avec simplicité à son presbytère, et il écouta mon histoire sans trop d'étonnement. Il me promet de venir sur place, se rendre compte. Très tôt le lendemain, il arrive par la porte arrière de notre propriété et m'accompagne à la cave. Il constate que je ne lui ai pas menti. Devant le Christ retourné, il se signe dévotement à plusieurs reprises, en murmurant une prière latine. Il s'agenouille ensuite devant les ossements fort bien conservés qu'il examine méticuleusement, en véritable archéologue. Il se relève, prend son missel, son encensoir et ses vêtements sacerdotaux dont il se revêt. Il exécute alors avec une émouvante simplicité le rituel latin de la messe des morts. Sont-ce les circonstances, l'heure et le lieu de cette cérémonie insolite? Toujours est-il que je me sens ému. Une sorte de jubilation monte en moi, une joie inconnue m'envahit... Deux mois plus tard, à la veille des vacances d'été, nous nous installions dans la demeure... Avant de quitter l'ossuaire, le prêtre détache le Christ profané et le remplace par un petit crucifix sulpicien qu'il bénit avant de le suspendre au vieux clou rouillé fiché dans la paroi. Vous pouvez murer l'ossuaire maintenant, leurs âmes sont en paix auprès du Seigneur. Vous, aussi, mon fils, allez en paix, et que la paix du Christ vous accompagne! Je murai la crypte, remis le battant de métal dans son scellement et le revêtis d'une garniture de vieilles pierres. Dès lors tout rentra dans l'ordre et il n'y eut plus jamais de manifestations insolites. Peut-être notre ferme avait-elle été construite à l'emplacement de la maison des soeurs Vaillant, deux sorcières brûlées vives au 16e siècle après un procès sordide, et dont j'avais trouvé les minutes aux archives de Fontainebleau ?
Un couple avec son enfant a habité cette demeure il y a de cela quelques
années.
Agé de 5 ans, l'enfant décede d'une mort mystérieuse.
Apres la mort de leur enfant, a cause de la douleur qui les emparèrent le couple décida de quitter la maison et de la mettre en location.
Mais tous les locataires ayants habités dans cette maison ne sont restés que peu de temps, 2 jours pour certains ou 3 mois pour d'autres.
Ils auraient entendus des bruits de pas, pleurs et des rires d'enfants, ce qui les a poussé à quitter les lieux le plus vite possible.
A cause de ces phénomènes la demeure serait inhabité.
On raconte aussi que « Il y a eu 3 ou 4 couples qui ont habité cette
maison et à chaque fois les hommes se pendaient dans la même pièce... »
La mairie voulait la retaper, puis a voulu la démolir mais comme atteintes par une malédiction, toutes les machines qui devaient servir à la démolition ou à retaper la maison tombaient en panne devant le mur de cette derniere.
La mairie n'a eu d'autre solution que de murer les entrées et fenêtres de la maison, seule la chambre du petit garçon possede une fenêtre qui n'est pas totalement murée.
Le tour de la maison est grillagé et un berger allemand a été mis là
pour monter la garde et éloigner les curieux, un peu trop nombreux, de
cette maison.
Un panneau est placé à l'entrée de la maison: « Propriété Privée attention danger ... »
A présent les seuls qui ont acces à la maison est un couple de vieux
agriculteurs qui vient cultiver ses patates et s'occuper du chien, mais la maison n'étant pas équipée ni d'électricité ni de chauffage central, il n'y réside pas.
Mais cependant méfiez vous le vieillard s'amuse à tirer avec sa carabine
sur ceux qui s'approche de trop pres de la maison!
Rien d'étrange on pourrait dire mais le soir, la cheminée se met
brusquement à fumer durant quelques secondes et on raconte également que de la lumière apparait dans la chambre des pendus et du petit enfant.
On raconte aussi que les gendarmes avaient placé 4 bergers allemands pour
surveiller cette maison, arrivé au petit matin on retrouva les chiens morts qui baignaient dans leur sang.
1. flocons le 21-02-2011 à 11:00:35 (site)
bonjour les filles ,
bien sûr cette histoire aussi est terrifiante!
mais qui voudrait se risquer de paser la barrière quand on sait que les bergers allemands sont morts!
personne ne voudrait s'approcher d'une maison où a maledictions est là a deux pas!
2. NessieAndGinny le 21-02-2011 à 11:31:34 (site)
Salut,
je n'ai hélàs pas vu beaucoup de film avec Kristen... mais merci du conseil ! ^^
j'aime bien Kristen, mais je préfère Emma Watson
xx
C'est un couple qui rentre un soir tard de chez des invités.
Ils rentrent chez eux, avec aux moins 150 bornes de trajet.
Ils traversent une immense foret quand tout a coup ils aperçoivent une voiture arrêtée au bord de la route.
En temps normal, ils ne se seraient certainement pas arrêté, mais la, une petite fille pleure a coté.
Ils s'arrêtent donc et demandent ce qui se passe a la fille.
Elle montre la voiture en pleurant: le couple constatent avec effrois que deux personnes sont égorgées a l'intérieur.
Ils en concluent que ses parents on été assassinés et qu'il n'est vraiment pas prudent de rester ici.
Ils prennent la petite fille dans leur voiture et filent au poste le plus proche.
Le mari roule a tout allure.
Tout a coup, il tourne la tête, et aperçoit sa femme, les yeux dans le vide, la bouche ouverte et la gorge tranchée.
Il regarde dans le rétroviseur et voit la petite fille léchant un couteau plein de sang.
1. flocons le 21-02-2011 à 11:02:36 (site)
ouuuhhhh, quel horrible scenario!
c'est les filles vous n'avez pas peur?
2. flocons le 21-02-2011 à 11:03:52 (site)
excusez moi
c'est vrai les filles , vous n'avez pas peur?
3. Lespsychogirls le 21-02-2011 à 20:01:29 (site)
Pour les histoires, ce sont des légendes, j'ignore si elles sont vraies ou non, mais sinon moi je suis une trouillarde Flocons, faut pas croire.
4. cendb le 01-03-2011 à 21:50:43 (site)
Et ...
Si c'était vrai ....
Ha ! Ha !
Regardez toujours dans votre rétro ...
On ne sait jamais ...
Commentaires